DO I LIKE MY NIPPLES ?

Autrement dit : "Est-ce que je supporte que l'on me pince les seins ?"... A vrai dire, tout dépend de la façon dont c'est fait, que cela aille d'un acte plutôt gentil à quelque chose de nettement plus sérieux :

Pour être exact, ceci n'a pas l'air très méchant, mais cela peut aussi entraîner directement l'esclave à un pilori... Voire à quelque chose qui le touche nettement plus, d'ailleurs :

Certes, la maîtresse peut se montrer sympathique, du moins au début... Mais cela ne va guère durer, si l'on en juge d'après le procédé mis au point par cette jeune fille, qui a l'ar bien plus efficace :

Surtout si l'on utilise en plus de la cire - comme le prouvent les jambes de cet esclave... D'autant plus que depuis le début, celui-ci n'a absolument aucune possibilité de remuer ses bras :

Cela va brièvement inciter les maîtresses à s'amuser un petit peu :

Mais ceci ne vaut pas le grand plaisir que s'offre l'une d'entre elles... Et là, on peut dire que les pinces aux seins ne sont à cet endroit que pour contraindre l'esclave à se donner le mieux possible :

Si celui-ci n'en est pas capable, tant pis pour lui, après tout... Il reste au moins à la maîtresse la possibilité de se venger, et c'est déjà bien - surtout si l'on en va jusqu'à une certaine maniaquerie dans le genre :

Et bien sûr, cela peut aller très loin - meilleure preuve avec cette photo que j'ai déjà publié sur ce site, qui semble relater jusqu'où on peut se rendre en cas de nécessité absolue :

Est-ce que cela me plaît ? Je crois que oui, en fait... La douleur n'est que passagère, et en plus, ce n'est pas aussi gênant que la cage de chasteté, une contrainte impitoyable qui nous chagrine, et enchante à un point que l'on n'imagine pas les maîtresses qui en font usage !

Si vous aimez bien, il vous reste encore cinq articles à (re)voir :

I LIKE TO LICK HIGH HEELS...

I ALSO LIKE TO LICK SOLES...

THE TONGUE...

I FEAR THE CHASTITY CAGE...

VERY HIGH HEELS !

THE TONGUE...

Autrement dit, "la langue"... Vous voyez de quoi je veux parler, non ? Au cas où, vous avez des informations fort claires sur cette photo :

Bien sûr, ceci peut commencer très doucement :

Mais cela n'empêchera pas la maîtresse de se livrer à ce qu'elle attend depuis longtemps, la domination absolue de son esclave - de préférence par la langue :

Evidemment, cela peut aller beaucoup plus loin :

Surtout quand l'esclave, attaché les mains dans le dos, n'a aucune possibilité de faire autrement - même si cela lui déplaît profondément :

Que dire alors de cette définitive obéissance ? Cela à beau avoir l'air assez compliqué - du moins pour lui -, il reste néanmoins bien content de ne pas avoir à nettoyer un grand nombre de paires :

Dans le cas contraire, au cas où l'esclave ne se soumettrait pas encore à sa maîtresse ? Et bien, il ne reste à celle-ci qu'une unique possibilité, le bâillonner complètement, et elle ne va pas se gêner pour l'appliquer immédiatement :

Il n'est toujours pas content, dirait-on... Tant pis pour lui, après tout, c'est de sa faute, n'est ce pas ? Laissons-le méditer là-dessus durant quelques heures, peut-être sera-t-il alors de meilleure humeur :

Allez-vous me dire encore une fois que je vais là trop loin ? J'en doute... Mais si ça n'est pas le cas, soyez assez gentils pour me laisser un commentaire, ce qui me fera très plaisir !

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Pour aller un peu plus loin que le précédent article, qui s'intitulait tout simplement I like to lick High Heels, je me livre maintenant à cette aventure assez inédite, qui consiste à aimer suffisamment les escarpins pour en lécher toutes les parties - notamment la plus sale, toujours située à la semelle :

L'esclave a vraiment aussi peu de goût que d'habitude, mais s'il préfère les chaussures noires, après tout, pourquoi pas ?

De toute façon, il s'avère toujours bien meilleur dans une position visiblement inférieure, c'est clair - surtout si les mains attachées dans le dos, il n'a qu'une chose à faire en attendant que sa maîtresse soit satisfaite, sucer avec docilité les semelles de ses escarpins :

Evidemment, ce ne sont pas toujours les chaussures favorites des femmes... Lesquelles peuvent aussi porter de simples bottines :

Voire de plus classiques bottes :

En tous cas, les esclaves devront de la même façon qu'envers les escarpins se livrer à ce qu'ils ont l'habitude de faire... Autrement dit, lécher avec une grande rigueur les semelles de ces bottes :

Même - et surtout - si celles-ci se révèlent à hauts talons, ce qui les placera définitivement dans le seul statut qu'ils ont encore :

Allez-vous me dire encore une fois que je vais là trop loin ? J'en doute... Mais si ça n'est pas le cas, soyez assez gentils pour me laisser un commentaire, ce qui me fera très plaisir !

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Bon, il est temps que j'arrête de me consacrer à Sissy, vu que cela n'intéresse pas grand monde, y compris moi, d'ailleurs ! Je faisais ça juste histoire d'être un peu complet sur le sujet, mais maintenant que c'est fini, j'en viens à ce qui me passionne réellement : se montrer totalement respectueux vis à vis de la "vraie" femme...

Ceci implique comme vous le savez une dévotion absolue à ces magnifiques chaussures, n'est-ce pas ?

Evidemment, cette attitude d'esclave peut aller un petit peu plus loin, ce qui place la maîtresse bien au-dessus de l'homme :

Voire même nettement plus en avant, avec ces deux soumissions incroyables, qui montrent bien la totale supériorité du pied féminin accompagné de ces très beaux escarpins :

Néanmoins, ceci n'en vient pas au point où se trouve la célèbre Leyla - que vous connaissez tous via Internet, je l'espère... Au cas où ça ne serait pas encore le cas, je vous conseille vivement cette maîtresse, qui de prime abord se révèle peu bavarde, et même plutôt assez gentille :

Mais qui en réalité s'avère très ferme concernant ses chaussures, allant jusqu'à enchaîner son esclave d'une façon bien rigoureuse :

Très bien, n'est-ce pas ? Une sorte d'idéal, aux yeux de la forte femme comme pour le faible esclave, disons-le... Mais il se peut aussi que ces escarpins commencent à ressembler à autre chose, il me semble :

Et oui, bien sûr, il s'agit de ces fameuses bottes, un accessoire dont la vraie dominatrice est souvent pourvue... Surtout lorsqu'elles sont aussi sales que celles-ci :

Que dire alors lorsque le prétendu esclave se trouve lui aussi remplacé par une autre femme ? En fait, nous sommes impressionnés de la voir lécher des talons avec une telle patience, et un réel enthousiasme :

Là aussi, l'on n'est pas obligé de s'arrêter à ce point, déjà relativement engagé... Nous pouvons aussi admirer une pauvre lesbienne bien enchaînée, obligée de faire ce que veulent ses deux maîtresses :

Allez-vous me dire que je vais là trop loin ? J'en doute, étant donné que je ne vous ai pas livré les adresses des sites concernés, surtout celui de Leyla... Mais si ça n'est pas le cas, soyez assez gentils pour me laisser un commentaire, ce qui me fera très plaisir !

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SISSY, POUR RESUMER...

Vous savez ce que c'est qu'un Sissy, n'est-ce pas ? C'est un drag queen, autrement dit un mot anglais beaucoup moins humiliant que travesti, mais il signifie en fait la même chose : pour un homme, s'habiller - pour une fois - en femme, et la meilleure raison à cela (que j'ai volontairement choisie ici), c'est d'y être contraint par une vraie femme, dont les possibilités sont quasiment infinies.

Je vous en fait clairement un résumé... Evidemment, l'essentiel pour le Sissy est de se livrer à son travail, et celui-ci n'est pas simple, croyez-moi sur parole :

A tel point que la maîtresse est souvent obligée, contre son gré, de surveiller celui-ci - voir même de l'imposer :

Certes, si cela ne se passe pas comme prévu, il ne reste plus à la maîtresse qu'à tenter de se faire comprendre, au début par une punition somme toute assez légère :

Mais en général, cela ne suffit pas... Et il convient à cette dernière de condamner Sissy à rester attachée à son fauteuil - pour une durée l'on s'en doute indéterminée :

Même au Japon, l'on procède ainsi... Bien que la technique soit légèrement différente :

Quoiqu'il en soit, il est toujours préférable de se retrouver tel quel, plutôt que comme cela, attaché à une croix... Où l'on se doute que la maîtresse va désormais se livrer à tout ce qu'elle estime favorable, que Sissy aime ceci ou non :

Ce qui peut aller jusqu'à un point qu'elle n'a pas imaginé, avec sa prétendue sœur... Et elle ne sait pas non plus combien de temps cela va durer, cela dépend entièrement de la propre volonté de la seule vraie femme en ce lieu :

En résumé ? Tout ce que Sissy a à faire, c'est de se montrer très obéissante à sa maîtresse, et ceci quel que soit le costume qu'elle l'oblige à porter :

Et ceci reste vrai, que celle-ci soit seule ou non :

Comme je vous l'avais déjà prouvé dans le premier article, seul importe finalement le respect que les Sissys lui montrent... Et même si celles-ci se trouvent nombreuses, ils/elles restent néanmoins à leur place, qui est entièrement vouée à l'obéissance de leur deux maîtresses :

Bon, je reconnais qu'il s'agit d'un article inédit sur ce site, mais bien que n'étant pas spécialement concerné, je me suis tout de même assez bien documenté sur le sujet... De quoi en revenir aux trois articles précédents, à chaque fois sur un thème relativement différent :

1) SISSY, TON ATTITUDE ! C'est ici...

2) SISSY, UN PEU DE FOUET ! C'est là...

3) SISSY, DE NOMBREUSES CONTRAINTES ! C'est encore là...

J'espère que vous aimerez beaucoup, et que même si cela ne fait pas partie de vos émotions favorites - ce qui est bien compréhensible -, j'ose espérer que contrairement à l'habitude courante ici, vous laisserez sans tarder un commentaire !