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  • mercredi, octobre 30, 2024

    DO I LIKE MY NIPPLES ?

    Autrement dit : "Est-ce que je supporte que l'on me pince les seins ?"... A vrai dire, tout dépend de la façon dont c'est fait, que cela aille d'un acte plutôt gentil à quelque chose de nettement plus sérieux :

    Pour être exact, ceci n'a pas l'air très méchant, mais cela peut aussi entraîner directement l'esclave à un pilori... Voire à quelque chose qui le touche nettement plus, d'ailleurs :
    Certes, la maîtresse peut se montrer sympathique, du moins au début... Mais cela ne va guère durer, si l'on en juge d'après le procédé mis au point par cette jeune fille, qui a l'ar bien plus efficace :
    Surtout si l'on utilise en plus de la cire - comme le prouvent les jambes de cet esclave... D'autant plus que depuis le début, celui-ci n'a absolument aucune possibilité de remuer ses bras :
    Cela va brièvement inciter les maîtresses à s'amuser un petit peu :
    Mais ceci ne vaut pas le grand plaisir que s'offre l'une d'entre elles... Et là, on peut dire que les pinces aux seins ne sont à cet endroit que pour contraindre l'esclave à se donner le mieux possible :
    Si celui-ci n'en est pas capable, tant pis pour lui, après tout... Il reste au moins à la maîtresse la possibilité de se venger, et c'est déjà bien - surtout si l'on en va jusqu'à une certaine maniaquerie dans le genre :
    Et bien sûr, cela peut aller très loin - meilleure preuve avec cette photo que j'ai déjà publié sur ce site, qui semble relater jusqu'où on peut se rendre en cas de nécessité absolue :
    Est-ce que cela me plaît ? Je crois que oui, en fait... La douleur n'est que passagère, et en plus, ce n'est pas aussi gênant que la cage de chasteté, une contrainte impitoyable qui nous chagrine, et enchante à un point que l'on n'imagine pas les maîtresses qui en font usage !
    Si vous aimez bien, il vous reste encore cinq articles à (re)voir :
    I LIKE TO LICK HIGH HEELS...

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    jeudi, janvier 25, 2024

    MES 65 ANS, AUJOURD'HUI !

    Voilà, comme promis à ceux qui suivent attentivement, c'est bel et bien aujourd'hui que j'ai 65 ans - sauf que je ne peux plus faire tout ce dont j'avais envie, suite à un AVC survenu en montagne en 2011... Quoi qu'il en soit, cela ne veut pas dire que je n'atteindrais pas les 75 ans ou les 85 ans, voire même les 95 ans, s'il le faut !

    En attendant, je vous ai fait les jours précédents trois articles (mais oui !), tous consacrés au masochisme masculin dont je suis un grand fan, et je vous donne juste un aperçu de deux images par groupe aujourd'hui - avec le lien direct, bien sûr !

    1) Humiliation (le titre est soi-disant en anglais, mais je ne vous donnerai la traduction que quand cela sera nécessaire)

    Il y a à chaque fois douze photos, qui grosso modo vont de la plus simple à la plus sophistiquée... On le voit bien ici, où l'on débute avec une classique soumission aux bottes, pour terminer avec une jeune fille qui s'amuse beaucoup face à son esclave bien ligoté :

    L'article entier est ici : HUMILIATION

    2) Nipples (autrement dit, pinces à seins ou pinces à linge)

    Là encore, douze photos, pour mettre en valeur cette coutume assez rare des maîtresses, qui consiste à appliquer des pinces à linge le long du corps de la victime, jusqu'à un nombre phénoménal... Cela n'a l'air de rien, mais peut en réalité atteindre des proportions étonnantes :

    L'article entier est ici : NIPPLES

    3) Whip (soit le fouet)

    Evidemment, il m'a été plus facile de dénicher les douze photos pour illustrer ce thème favori, étant donné que l'on trouve souvent ce genre de pratique en usage dans le monde entier... Néanmoins, j'ai choisi quelques belles images, notamment la seconde, où la vraie maîtresse a vraiment l'air de se réjouir à l'avance de fouetter et d'humilier la fausse femme se tenant à sa disposition :

    L'article entier est ici : WHIP

    Alors, qu'avez-vous préféré : Humiliation, Nipples, ou Whip ? En tous cas, je vous conseille de regarder chacun de ces trois articles un par un, car j'ai passé pas mal de temps à les écrire...

    Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement - si ce n'est pas trop demander !

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    mardi, janvier 23, 2024

    BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : WHIP...

    Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

    Je continue avec une technique par contre fort répandue, celle du fouet - en anglais, the whip... Si celle-ci est bien redoutée de la part de esclaves, il y a cela de bonnes raisons, et il est assez évident que ceci n'a pas de limites, qu'il s'agisse de la position, du temps, ou même du nombre de maîtresses, comme quoi il vaut mieux très bien se tenir :

    J'aime beaucoup cette image, car elle provient d'une vidéo fabuleuse, Good Slave Get Reward, que je ne saurais trop vous conseiller de regarder - si vous aimez cela...
    A part ça, voyez-vous un point commun entre toutes ces maîtresses ?
    Certes, elles n'utilisent pas toutes le même type de fouet - ce qui est avant tout une question de goût pour elles, bien sûr :
    Mais surtout, elles gardent bien leur unique esclave soigneusement attaché, afin que celui-ci n'ait aucune possibilité de s'éloigner :
    Le fait qu'elles le ligotent est pour ainsi dire systématique, que la maîtresse ait décidé de se mettre nue et de bien s'éclater sur les fesses de l'esclave, ou que bien au contraire elle préfère rester bien habillée, tout en se défoulant sur son dos - les mains solidement attachées :
    Mais cela peut évidemment tourner bien pire, entre autre avec l'usage de cette croix, particulièrement humiliant :
    Sans compter que le nombre des maîtresses peut aussi s'accroître, et malheureusement, ceci ne laisse aucune possibilité à l'esclave en question - sauf de supporter leur humeur, en attendant :
    Dernière chose que j'ai failli oublier : il se peut aussi que l'esclave soit contre sa volonté habillé en femme - bien qu'il n'en soit visiblement pas une... Mais ceci à l'air de grandement réjouir la maîtresse, qui s'apprête avec un beau sourire à le fouetter consciencieusement :

    Bon, je m'arrête là. Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier, c'est à dire demain... Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

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    lundi, janvier 22, 2024

    BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : NIPPLES...

    Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

    Je poursuis avec une pratique assez peu connue, celle des nipples - ou en bon français, les pinces à seins... Ce n'est en apparence pas bien méchant, mais selon la position - et le nombre de nipples - cela peut aller plutôt loin dans la douleur, et donc dans le plus pur respect de la maîtresse, qui reste évidemment essentiel.

    Et encore, cela reste plutôt calme dans ces deux premières images, où l'esclave debout ou allongé se borne à respecter la volonté des femmes :

    Par contre, cela va déjà nettement plus loin avec les deux suivantes, où le fait d'avoir les mains attachées dans le dos rend leur maîtresse davantage impitoyable :
    Bien sûr, il est toujours possible de faire mieux...
    C'est ce que semble désormais prouver la posture de ce pauvre esclave, qui a l'air de souffrir beaucoup de ces deux pinces à seins, manipulées avec plaisir par cette femmes en hauts talons... Ou encore mieux, la position quasiment inversée de cet autre homme, qui supporte comme il le peut tout ce dont il doit souffrir :
    En guise de final, nous avons aussi la position de cette maîtresse face à ces deux esclaves, tous les deux incapables de bouger... Elle a l'air moins terrifiante que les deux précédentes, mais visiblement, elle s'en réjouit profondément :
    J'ai parlé de final, mais en fait, je voulais plutôt mentionner le passage à autre chose, les pinces à linge - qui ne s'avèrent finalement pas bien différentes des précédents nipples... Leur forme n'est par contre pas du tout la même, et cela se voit très bien, quel que soit l'endroit où celles-ci sont placées :
    Pour apporter quelque chose de nouveau, l'on découvre à présent deux types de maitresses : soit la première, bien déterminée à en mettre le plus possible (et il en reste beaucoup, sur la barre reliée au sol !)...
    Ou bien la seconde, qui comme on l'a déjà vu, préfère tenir son esclave à l'envers, juste histoire de placer le maximum de pinces à linge au même endroit douloureux :
    En résumé ? Il y a des gens qui ne connaissent aucune limite, et l'on se demande bien quand est-ce qu'elle pourra finir :

    Bon, je m'arrête là, car il me reste encore un point important à envisager... Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier. Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

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    dimanche, janvier 21, 2024

    BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : HUMILIATION...

    Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

    Je commence par le plus simple, l'humiliation... Cela n'a l'air de rien, selon toute apparence, mais c'est en réalité une phase très importante dans la part de soumission à sa maîtresse, qui reste essentielle dans ce genre de pratique.

    Cela peut commencer tout simplement par le sol de la cuisine, qui a de toute évidence besoin d'être nettoyée en profondeur :

    Mais cela peut aussi aller beaucoup plus loin, au cours d'une cérémonie qui n'a pas l'air très agréable :
    Enfin, ceci est toujours mieux que cette fessée particulièrement sadique - et là, je passe sur ce qu'elle lui a mis entre les jambes, juste histoire de provoquer un peu plus de souffrance :
    Sans compter que cela peut être encore renforcé à l'extérieur, où la maîtresse se sert tout à la fois de sa chaîne et de son fouet pour donner à son esclave tout ce qu'il mérite :
    Vous voulez que je vous dise ? Le pire, c'est lorsqu'elle semble particulièrement joyeuse de le voir ainsi, pratiquement retenu et contraint par toutes les parties du corps :
    Revenons donc à quelque chose de plus simple, qui est comme vous le savez l'une des bases fondamentales de ce site : la soumission aux bottes... En prime, ils ne sont même pas masqués ni menottés, donc je suppose que d'un certain côté, ils trouvent cela finalement plutôt agréable :
    Certes, cela les gêne un petit peu plus lorsque les deux mêmes femmes décident de les utiliser comme chevaux dociles, mais ils le savaient déjà, non ? Sinon, c'est un peu imprévu, mais au moins, ils ont encore la tête et les deux mains de libres, alors ce n'est déjà pas si mal :
    Il en va bien différemment avec cet esclave isolé, qui ne jouit pratiquement d'aucune liberté... Et se voit donc soumis à la bonne volonté de ses maîtresses, qui s'exerce sur un point que je n'ose même pas décrire, tellement ça semble douloureux :
    Sinon, c'est uniquement pour faire ceci : donner satisfaction à ses deux maîtresses en même temps, et d'une manière différente... Soit la plus courante, pour celle qui a la bonté de se placer sous la table, soit d'une façon plus originale (et malheureusement assez peu pratiquée par les hommes libres !), pour l'autre qui se trouve au-dessus :
    Vous croyez que j'ai fini ? Pas du tout, et les trois dernières images que je vais vous montrer désignent clairement la puissance des maîtresses, soit simplement pour contraindre cet esclave à porter au cou un panneau particulièrement humiliant :
    Soit, plus rare, pour se réjouir de le voir faire l'acte en question tout seul, alors qu'il y a tellement de belles jeunes filles autour, qui ne peuvent s'empêcher de sourire :
    Le pire étant bien sûr lorsque l'une d'entre elles décide de s'en charger par elle-même - faisant encore plus rire tout le monde :

    Bon, je m'arrête là, car il me reste encore deux points importants à envisager... Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier. Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

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