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  • jeudi, janvier 25, 2024

    MES 65 ANS, AUJOURD'HUI !

    Voilà, comme promis à ceux qui suivent attentivement, c'est bel et bien aujourd'hui que j'ai 65 ans - sauf que je ne peux plus faire tout ce dont j'avais envie, suite à un AVC survenu en montagne en 2011... Quoi qu'il en soit, cela ne veut pas dire que je n'atteindrais pas les 75 ans ou les 85 ans, voire même les 95 ans, s'il le faut !

    En attendant, je vous ai fait les jours précédents trois articles (mais oui !), tous consacrés au masochisme masculin dont je suis un grand fan, et je vous donne juste un aperçu de deux images par groupe aujourd'hui - avec le lien direct, bien sûr !

    1) Humiliation (le titre est soi-disant en anglais, mais je ne vous donnerai la traduction que quand cela sera nécessaire)

    Il y a à chaque fois douze photos, qui grosso modo vont de la plus simple à la plus sophistiquée... On le voit bien ici, où l'on débute avec une classique soumission aux bottes, pour terminer avec une jeune fille qui s'amuse beaucoup face à son esclave bien ligoté :

    L'article entier est ici : HUMILIATION

    2) Nipples (autrement dit, pinces à seins ou pinces à linge)

    Là encore, douze photos, pour mettre en valeur cette coutume assez rare des maîtresses, qui consiste à appliquer des pinces à linge le long du corps de la victime, jusqu'à un nombre phénoménal... Cela n'a l'air de rien, mais peut en réalité atteindre des proportions étonnantes :

    L'article entier est ici : NIPPLES

    3) Whip (soit le fouet)

    Evidemment, il m'a été plus facile de dénicher les douze photos pour illustrer ce thème favori, étant donné que l'on trouve souvent ce genre de pratique en usage dans le monde entier... Néanmoins, j'ai choisi quelques belles images, notamment la seconde, où la vraie maîtresse a vraiment l'air de se réjouir à l'avance de fouetter et d'humilier la fausse femme se tenant à sa disposition :

    L'article entier est ici : WHIP

    Alors, qu'avez-vous préféré : Humiliation, Nipples, ou Whip ? En tous cas, je vous conseille de regarder chacun de ces trois articles un par un, car j'ai passé pas mal de temps à les écrire... Voici de nouveau les trois adresses :

    HUMILIATION

    NIPPLES

    WHIP

    Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement - si ce n'est pas trop demander !

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    mardi, janvier 23, 2024

    BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : WHIP...

    Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

    Je continue avec une technique par contre fort répandue, celle du fouet - en anglais, the whip... Si celle-ci est bien redoutée de la part de esclaves, il y a cela de bonnes raisons, et il est assez évident que ceci n'a pas de limites, qu'il s'agisse de la position, du temps, ou même du nombre de maîtresses, comme quoi il vaut mieux très bien se tenir :

    J'aime beaucoup cette image, car elle provient d'une vidéo fabuleuse, Good Slave Get Reward, que je ne saurais trop vous conseiller de regarder - si vous aimez cela...
    A part ça, voyez-vous un point commun entre toutes ces maîtresses ?
    Certes, elles n'utilisent pas toutes le même type de fouet - ce qui est avant tout une question de goût pour elles, bien sûr :
    Mais surtout, elles gardent bien leur unique esclave soigneusement attaché, afin que celui-ci n'ait aucune possibilité de s'éloigner :
    Le fait qu'elles le ligotent est pour ainsi dire systématique, que la maîtresse ait décidé de se mettre nue et de bien s'éclater sur les fesses de l'esclave, ou que bien au contraire elle préfère rester bien habillée, tout en se défoulant sur son dos - les mains solidement attachées :
    Mais cela peut évidemment tourner bien pire, entre autre avec l'usage de cette croix, particulièrement humiliant :
    Sans compter que le nombre des maîtresses peut aussi s'accroître, et malheureusement, ceci ne laisse aucune possibilité à l'esclave en question - sauf de supporter leur humeur, en attendant :
    Dernière chose que j'ai failli oublier : il se peut aussi que l'esclave soit contre sa volonté habillé en femme - bien qu'il n'en soit visiblement pas une... Mais ceci à l'air de grandement réjouir la maîtresse, qui s'apprête avec un beau sourire à le fouetter consciencieusement :

    Bon, je m'arrête là. Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier, c'est à dire demain... Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

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    lundi, janvier 22, 2024

    BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : NIPPLES...

    Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

    Je poursuis avec une pratique assez peu connue, celle des nipples - ou en bon français, les pinces à seins... Ce n'est en apparence pas bien méchant, mais selon la position - et le nombre de nipples - cela peut aller plutôt loin dans la douleur, et donc dans le plus pur respect de la maîtresse, qui reste évidemment essentiel.

    Et encore, cela reste plutôt calme dans ces deux premières images, où l'esclave debout ou allongé se borne à respecter la volonté des femmes :

    Par contre, cela va déjà nettement plus loin avec les deux suivantes, où le fait d'avoir les mains attachées dans le dos rend leur maîtresse davantage impitoyable :
    Bien sûr, il est toujours possible de faire mieux...
    C'est ce que semble désormais prouver la posture de ce pauvre esclave, qui a l'air de souffrir beaucoup de ces deux pinces à seins, manipulées avec plaisir par cette femmes en hauts talons... Ou encore mieux, la position quasiment inversée de cet autre homme, qui supporte comme il le peut tout ce dont il doit souffrir :
    En guise de final, nous avons aussi la position de cette maîtresse face à ces deux esclaves, tous les deux incapables de bouger... Elle a l'air moins terrifiante que les deux précédentes, mais visiblement, elle s'en réjouit profondément :
    J'ai parlé de final, mais en fait, je voulais plutôt mentionner le passage à autre chose, les pinces à linge - qui ne s'avèrent finalement pas bien différentes des précédents nipples... Leur forme n'est par contre pas du tout la même, et cela se voit très bien, quel que soit l'endroit où celles-ci sont placées :
    Pour apporter quelque chose de nouveau, l'on découvre à présent deux types de maitresses : soit la première, bien déterminée à en mettre le plus possible (et il en reste beaucoup, sur la barre reliée au sol !)...
    Ou bien la seconde, qui comme on l'a déjà vu, préfère tenir son esclave à l'envers, juste histoire de placer le maximum de pinces à linge au même endroit douloureux :
    En résumé ? Il y a des gens qui ne connaissent aucune limite, et l'on se demande bien quand est-ce qu'elle pourra finir :

    Bon, je m'arrête là, car il me reste encore un point important à envisager... Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier. Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

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    dimanche, janvier 21, 2024

    BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : HUMILIATION...

    Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

    Je commence par le plus simple, l'humiliation... Cela n'a l'air de rien, selon toute apparence, mais c'est en réalité une phase très importante dans la part de soumission à sa maîtresse, qui reste essentielle dans ce genre de pratique.

    Cela peut commencer tout simplement par le sol de la cuisine, qui a de toute évidence besoin d'être nettoyée en profondeur :

    Mais cela peut aussi aller beaucoup plus loin, au cours d'une cérémonie qui n'a pas l'air très agréable :
    Enfin, ceci est toujours mieux que cette fessée particulièrement sadique - et là, je passe sur ce qu'elle lui a mis entre les jambes, juste histoire de provoquer un peu plus de souffrance :
    Sans compter que cela peut être encore renforcé à l'extérieur, où la maîtresse se sert tout à la fois de sa chaîne et de son fouet pour donner à son esclave tout ce qu'il mérite :
    Vous voulez que je vous dise ? Le pire, c'est lorsqu'elle semble particulièrement joyeuse de le voir ainsi, pratiquement retenu et contraint par toutes les parties du corps :
    Revenons donc à quelque chose de plus simple, qui est comme vous le savez l'une des bases fondamentales de ce site : la soumission aux bottes... En prime, ils ne sont même pas masqués ni menottés, donc je suppose que d'un certain côté, ils trouvent cela finalement plutôt agréable :
    Certes, cela les gêne un petit peu plus lorsque les deux mêmes femmes décident de les utiliser comme chevaux dociles, mais ils le savaient déjà, non ? Sinon, c'est un peu imprévu, mais au moins, ils ont encore la tête et les deux mains de libres, alors ce n'est déjà pas si mal :
    Il en va bien différemment avec cet esclave isolé, qui ne jouit pratiquement d'aucune liberté... Et se voit donc soumis à la bonne volonté de ses maîtresses, qui s'exerce sur un point que je n'ose même pas décrire, tellement ça semble douloureux :
    Sinon, c'est uniquement pour faire ceci : donner satisfaction à ses deux maîtresses en même temps, et d'une manière différente... Soit la plus courante, pour celle qui a la bonté de se placer sous la table, soit d'une façon plus originale (et malheureusement assez peu pratiquée par les hommes libres !), pour l'autre qui se trouve au-dessus :
    Vous croyez que j'ai fini ? Pas du tout, et les trois dernières images que je vais vous montrer désignent clairement la puissance des maîtresses, soit simplement pour contraindre cet esclave à porter au cou un panneau particulièrement humiliant :
    Soit, plus rare, pour se réjouir de le voir faire l'acte en question tout seul, alors qu'il y a tellement de belles jeunes filles autour, qui ne peuvent s'empêcher de sourire :
    Le pire étant bien sûr lorsque l'une d'entre elles décide de s'en charger par elle-même - faisant encore plus rire tout le monde :

    Bon, je m'arrête là, car il me reste encore deux points importants à envisager... Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier. Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

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    mercredi, janvier 25, 2023

    64 ANS, TODAY !

    Yes, this is the very first text also available in English, which you can consult and comment on here : 64 YEARS, TODAY !

    Et oui, ce sont des choses qui arrivent, environ une fois par an... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires qui ont accompagné les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022, et Bon anniversaire ! en 2020.

    Mais bon, je n'en suis plus là, et je vais donc faire cette page dans le même ordre qu'en 2020, en parlant des quatre fantasmes qui me fascinent le plus, en allant du plus intense au moins fréquent - et vous allez voir, cela va de soi, finalement...

    1) Je commence bien sûr par le léchage des bottes féminines, ce qui peut aussi se traduire par de simples chaussures - tout dépend de sa propre opinion sur la propreté de celles-ci :

    Il en va se même pour ces bottes que nous n'estimons pas vraiment, mais que nous sommes quand même obligés de faire reluire - en se basant sur la phrase de la jeune fille, "It's your everyday job"... Autrement dit, "Tel est ton travail de tous les jours", ce qu'elle n'hésite pas à dire avec ses bottes aussi sales :
    Il en va déjà beaucoup mieux avec les bottines de cette femme, qui sont relativement propres... Mais vous êtes cette fois-ci menotté et tenu par une laisse - juste au cas où il vous arriverait de mal vous y prendre, on ne sait jamais :
    En fait, vous êtes bien content, lorsque la maîtresse porte enfin ces bottes que vous admirez tant - surtout quand elles n'ont pas l'air de demander autant de soins :
    Et même encore plus lorsque la patronne est asiatique - comme votre ex-femme -, et porte en plus des bottes du Texas - bien qu'elle ait cette fois-ci une corde, on ne sait jamais, après tout :
    Mais attention, cela peut rapidement se gâter... Surtout quand la maîtresse n'a pas l'air très contente, et que ses bottes sont excessivement sales :
    Est-ce qu'on a mieux, dans le même genre ? Sans doute oui, avec ces deux princesses qui n'ont pas l'air non plus d'excellente humeur, et ont en tous cas une laisse et une cravache - au cas où vous le mériteriez :
    Je finirai avec cette jeune fille, qui ma foi ne se gêne pas beaucoup pour faire tout ce qu'elle veut - puisque non seulement vous n'avez plus la moindre possibilité de bouger, mais portez en outre des bottes féminines, ce qui semble faire partie de votre punition :
    2) Là, je suis quasiment obligé de me rendre un peu plus loin, car ces maîtresses supportent très mal la désobéissance - ce qui est bien normal, si l'on y réfléchit... Evidemment, elles sont au départ relativement pacifiques, en ne vous attachant pas et en se contentant de vous dire l'essentiel, le tout accompagné de quelques coups de cravache :
    Mais cela ne dure pas bien longtemps, l'on s'en doute... Déjà, à la place de la cravache, on prend le fouet, bien plus efficace ! Et bien sûr, l'on attache l'esclave en question, afin qu'il ne puisse plus rien faire :
    Les maîtresses ont beau être fort belles, cela n'enlève rien à votre douleur... La preuve avec ces deux photos, que j'ai trouvé plutôt éloquentes :
    Peut-on faire mieux ? Bien sûr que oui... Déjà, en liant solidement l'esclave à l'extérieur, et en lui offrant ce que peut-être il ne veut pas du tout :
    Mais surtout en l'enchaînant pour de bon dans la forêt, ce que cette jeune fille des USA semble prendre un grand plaisir à faire - tout en continuant à le fouetter, naturellement :
    Avant de passer à la troisième phase, aurais-je encore quelque chose à dire ? Je préfère me taire, pour l'instant, car la maîtresse s'avère extrêmement rigoureuse, et ne laisse guère de choix à son esclave :
    3) Mais c'est un bon moyen pour me rendre à ce rite, qui est assez embêtant pour nous, mais très agréable pour elles, soyez-en sûr ! En fait, tout comme la femme, l'homme possède sur son corps au moins deux endroits sensibles... Mais il est tellement habitué à l'usage du premier, que l'intervention des maîtresses sur le second à l'aide de pinces peut sembler un petit peu curieux :
    Cela n'a pas l'air de grandement réjouir l'esclave en question, mais soyons clairs, les deux femmes ont l'air très contentes de le faire enfin jouir de cette partie de son corps :
    Mais cela ne suffit pas à lui faire oublier ce à quoi il tient le plus... Ce qu'une femme va tenter de faire avec l'aide bien commode d'un fouet, ayant pris soin de le bâillonner auparavant :
    Ceci dit, il est nettement plus efficace de procéder ainsi, où les deux maîtresses se livrent de façon différente à la castration du mâle - juste histoire de lui rappeler que de temps à autre, il existe bien d'autres moyens de montrer son amour, sans être aussi agressif :
    Si l'homme ne comprend toujours pas, il est alors indispensable de passer à une autre phase - certainement plus douloureuse, mais que voulez-vous, le but de cette maîtresse est très clair, non ?
    De même que pour celle-ci, qui avec un grand calme et de fort beaux talons, se livre à une expérience aussi marquante sur le jeune esclave - lequel est bien lié et bâillonné, donc peu importe, finalement :
    Après tout cela, il est certes difficile de trouver quelque chose d'encore plus fort, n'est-ce pas ? Mais juste histoire de terminer cette troisième section, on y est tout de même parvenu, et c'est vrai que ça doit être aussi dur à voir pour vous, que difficile à supporter pour le pauvre esclave en question :
    4) La dernière solution pour toutes ces maîtresses est de recourir à la méthode qui plaît le moins aux hommes : l'obligation de s'habiller volontairement en femme, de préférence castré, et se comportant comme une soubrette obéissant aux moindres ordres de celles-ci... Mais cela ne marche pas toujours du premier coup, meilleure preuve avec ce mauvais exemple d'un homme sans chaussures ni perruque, qui n'a pas l'air de bien écouter les recommandations de sa maîtresse :
    Dès lors, l'on comprend mieux l'apparente sévérité de celle-ci, et son résultat sur le soumis prêt à tout pour la respecter - entre autres, de porter de manière extrêmement courtoise son nouvel habit :
    Cela marche, n'est-ce pas ? En tous cas, c'est très visible sur cette soubrette, qui ne fait que suivre son ordre très simple - apporter le journal entre ses lèvres -, tandis que la belle femme boit son café :
    Et bien sûr, les maîtresses se laissent vite aller à leur première pratique, qui était la plus efficace pour soumettre l'esclave à tout ce dont il avait réellement besoin, rendre propre ce qu'elles ont aux pieds :
    De ce fait, peu importe d'être en bottes, en bottines, ou en simples escarpins... L'essentiel, c'est de restreindre la soubrette à son rang de femme soumise, et pour cela, peu importe de la masquer, ou de la placer au niveau le plus bas :
    Sinon, que faire ? Certes, ce n'est pas la première idée qui vient à l'esprit des femmes... Mais faute de mieux, elle sont bien obligées de le contraindre ainsi à une pure obéissance de sa part, et même si cela a l'air un petit peu violent, peu importe finalement son opinion d'esclave sur le sujet :
    Meilleure preuve avec ce groupe de cinq, composé de deux jeunes femmes bien habillées en pleine liberté, et de trois soubrettes toutes contraintes de manière différente, mais à mon avis très explicite :

    Voilà, j'espère que j'ai bien décrit cette fois-ci les quatre fantasmes au sein de mon esprit, avec cette ordre bien naturel des choses que l'on aime plus ou moins... 1) L'idée de lécher les bottes de sa maîtresse avec passion 2) La conséquence presque inévitable d'être fouetté un jour ou l'autre 3) Le concept de castration, qu'évidemment j'apprécie beaucoup moins 4) Le rabais en soubrette, encore pire faute de mieux, mais dans certains cas, cela peut aussi être finalement assez agréable.

    En ai-je dit assez, pour mon anniversaire ? Je ne sais pas, mais tout ce que j'espère, c'est davantage de commentaires que pour les articles consacrés à mes 63 ans et mes 61 ans, presque entièrement vides... Ceci ne demande pas beaucoup d'efforts de votre part, et cela me fera très plaisir !

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