AU JAPON EN SEPTEMBRE (#1)

En fait, cet article date du 1er septembre 2022 (je remets ça, histoire de solliciter de bons commentaires ici, ou sur les articles suivants)...

Vous savez ce qui m'est arrivé ? Bien sûr que non... Mais toujours est-il qu'atteint d'un AVC assez puissant depuis 2010, je me suis enfin décidé à remettre virtuellement les pieds dans ce pays que je connaissais bien, entre autre grâce à cette pratique assez courante là-bas, la dévotion absolument absolue à la femme - que je vous conseille de ne pas suivre, si vous ne vous sentez pas bien à la seule idée de renifler les chaussures de cette maîtresse à vos côtés :

Si par contre vous paraissez fort à l'aise dans ce rôle de serviteur dévoué, je vous le recommande, c'est sûr :

Surtout si la maîtresse décide en même temps de se relaxer un maximum :

Voire de se munir d'un outil fort pratique à sa main droite, au cas où vous paraissiez peu enthousiaste :

L'idéal pour elles étant de se faire nettoyer leurs plus belles paires, que celles-ci soient propres ou non, et à l'aide de n'importe quel moyen - vous voyez bien sûr ce que je veux dire :

Mais il y a autre chose que vous apprécierez encore davantage : c'est si votre maîtresse porte des bottes à la place de ses simples chaussures... Vous aimez cela, n'est-ce pas ?

Là encore, vous semblez prêt à tout, y compris nettoyer en bon esclave des bottes qui ne vous plaisent qu'en partie, et qui en outre sont bien sales :

Rassurez-vous, tout va désormais se dérouler bien mieux, avec de belles maîtresses qui n'ont qu'un unique but dans la vie :

Certes, elles fument tranquillement dans un bien bel appartement, mais cela ne les détourne pas de leur réelle pensée... Vous tenir en esclavage, éventuellement avec l'aide d'une corde, et vous demander de remettre leurs bottes dans le meilleur état possible - c'est tout ce qui les motive :

Bien sûr, si vous n'êtes pas très discipliné, il va vous falloir changer de maîtresse le plus vite possible... Pour vous trouver confronté avec la bien plus sévère et implacable Mme Kaela :

Son site se trouve à CET ENDROIT EXACTEMENT, et je dois bien reconnaître qu'il s'agit là l'un des meilleurs du Japon ! Peu importe de savoir comment je l'ai trouvé, avec quel outil je le traduis facilement en français, ou encore les nombreuses possibilités qu'il offre...

L'essentiel, c'est que je me plaise bien dans ce beau pays, et que je compte vous le faire visiter chaque semaine du mois de septembre, toujours à l'aide ce très pratique site, et en vous donnant à chaque fois une vision un peu différente de la chose - qui ne sera pas très loin, soyez rassurés, de ce masochisme initial...

Voici les liens vers les trois autres articles prévus : le second, qui raconte une simple histoire de TV, le troisième, nettement plus hard, et enfin le quatrième !

LÈCHE SANS CESSE MES BOTTES, ESCLAVE !

A NOTER : J'ATTENDS TOUJOURS DES COMMENTAIRES POUR FAIRE AVANCER CE SITE - et ceux-ci sont définitivement rares, même si je publie uniquement en français ! Enfin bon, je vous entraîne malgré tout dans le quatrième (et dernier ?) article à ce sujet, déjà car il s'en tient aux 16 photos habituelles, mais surtout parce qu'il en revient au thème des hommes, cette fois-ci nettement plus marqué que d'habitude...

De même que précédemment, je ne vous entraîne pas tout de suite vers des bottes, mais vers des escarpins bien plus sobres. En fait, peu importe ce que la maîtresse fait, que ce soit s'amuser de son esclave ou fumer tranquillement sa cigarette... L'essentiel reste qu'elle se montre absolument exigeante sur sa volonté, et que vous n'avez guère intérêt à la contredire :

Même s'il s'agit de chaussures légèrement plus hautes, vous n'avez toujours rien à dire, et c'est bien normal, finalement...

Car au bout du compte, vous vous retrouverez comme d'habitude sous les grandes bottes de votre maîtresse, et celle-ci aura tous les droits de vous contraindre à faire ce qu'elle veut :

Voire juste de vous offrir ce pour quoi vous êtes bon, et là, je n'ai nul besoin de vous faire un dessin plus explicite :

Si vous n'avez pas envie de le faire, il est bien normal que la maîtresse se livre à ce qu'elle veut, même si cela vous contraint à une humiliation supplémentaire avec un autre esclave :

A moins que vous ne préfériez le contraire, c'est à dire être bien seul face à deux maîtresses en pleine forme, et particulièrement décidées à porter de belles bottes :

Si cela ne vous suffit pas, il ne sera guère difficile d'aller un peu plus haut... Même si la botte n'en dit pas autant, tout ce qu'il faudra en enlever se révélera bien plus sale - surtout multiplié par deux dans un style que vous n'aimez pas particulièrement :

Attention, ce n'est pas encore la fin... Parce que vous pouvez aussi vous retrouver en plein air, prêt à vous soumettre aux maîtresses dans tout ce qu'elles demandent - et croyez-moi, vous n'avez absolument aucun moyen de vous y opposer :

Même si celle-ci est toute seule et bien dénudée, elle saura exactement ce qu'il lui faudra faire si jamais vous ne répondiez pas à ses ordres... Et ceci vous rendra finalement très obéissant, ce qu'il y a de mieux à faire en de telles circonstances :

Et si par miracle, cela ne suffit pas, la maîtresse devra sortir le pilori et vous y contraindre, jusqu'à ce vous vous soumettiez à tout ce qu'elle souhaite... C'est ce que vous vouliez, après tout, non ?

Je pense que cet article ne vous a - soi-disant - pas beaucoup plu, et que vous vous abstiendrez de laisser un commentaire, comme d'habitude...

Cependant, au cas improbable où vous changeriez d'avis, je vous donne les liens des trois précédents articles concernant ce sujet : Lèche mes bottes, esclave !, Lèche encore mes bottes, esclave !. et Lèche toujours mes bottes, esclave !

Et même le lien très étrange vers celui-ci (vous saurez pourquoi uniquement en le consultant) : Bonne année 2024 à toutes !

En tous cas, si vous avez envie d'en parler, n'oubliez pas : je suis toujours là !

BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : WHIP...

Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

Je continue avec une technique par contre fort répandue, celle du fouet - en anglais, the whip... Si celle-ci est bien redoutée de la part de esclaves, il y a cela de bonnes raisons, et il est assez évident que ceci n'a pas de limites, qu'il s'agisse de la position, du temps, ou même du nombre de maîtresses, comme quoi il vaut mieux très bien se tenir :

J'aime beaucoup cette image, car elle provient d'une vidéo fabuleuse, Good Slave Get Reward, que je ne saurais trop vous conseiller de regarder - si vous aimez cela...

A part ça, voyez-vous un point commun entre toutes ces maîtresses ?

Certes, elles n'utilisent pas toutes le même type de fouet - ce qui est avant tout une question de goût pour elles, bien sûr :

Mais surtout, elles gardent bien leur unique esclave soigneusement attaché, afin que celui-ci n'ait aucune possibilité de s'éloigner :

Le fait qu'elles le ligotent est pour ainsi dire systématique, que la maîtresse ait décidé de se mettre nue et de bien s'éclater sur les fesses de l'esclave, ou que bien au contraire elle préfère rester bien habillée, tout en se défoulant sur son dos - les mains solidement attachées :

Mais cela peut évidemment tourner bien pire, entre autre avec l'usage de cette croix, particulièrement humiliant :

Sans compter que le nombre des maîtresses peut aussi s'accroître, et malheureusement, ceci ne laisse aucune possibilité à l'esclave en question - sauf de supporter leur humeur, en attendant :

Dernière chose que j'ai failli oublier : il se peut aussi que l'esclave soit contre sa volonté habillé en femme - bien qu'il n'en soit visiblement pas une... Mais ceci à l'air de grandement réjouir la maîtresse, qui s'apprête avec un beau sourire à le fouetter consciencieusement :

Bon, je m'arrête là. Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier, c'est à dire demain... Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !

BIENTÔT 65 ANS, ET DONC : NIPPLES...

Et oui, mon anniversaire, c'est quelque chose qui n'arrive qu'une seule fois par an, le 25 janvier... Cela sert à quoi ? Et bien, à peu près à rien, si l'on en juge sur le nombre infime de commentaires accompagnant les précédents articles du même genre, Saint-Jérôme ! en 2022 et Bon anniversaire ! en 2020.

Je poursuis avec une pratique assez peu connue, celle des nipples - ou en bon français, les pinces à seins... Ce n'est en apparence pas bien méchant, mais selon la position - et le nombre de nipples - cela peut aller plutôt loin dans la douleur, et donc dans le plus pur respect de la maîtresse, qui reste évidemment essentiel.

Et encore, cela reste plutôt calme dans ces deux premières images, où l'esclave debout ou allongé se borne à respecter la volonté des femmes :

Par contre, cela va déjà nettement plus loin avec les deux suivantes, où le fait d'avoir les mains attachées dans le dos rend leur maîtresse davantage impitoyable :

Bien sûr, il est toujours possible de faire mieux...

C'est ce que semble désormais prouver la posture de ce pauvre esclave, qui a l'air de souffrir beaucoup de ces deux pinces à seins, manipulées avec plaisir par cette femmes en hauts talons... Ou encore mieux, la position quasiment inversée de cet autre homme, qui supporte comme il le peut tout ce dont il doit souffrir :

En guise de final, nous avons aussi la position de cette maîtresse face à ces deux esclaves, tous les deux incapables de bouger... Elle a l'air moins terrifiante que les deux précédentes, mais visiblement, elle s'en réjouit profondément :

J'ai parlé de final, mais en fait, je voulais plutôt mentionner le passage à autre chose, les pinces à linge - qui ne s'avèrent finalement pas bien différentes des précédents nipples... Leur forme n'est par contre pas du tout la même, et cela se voit très bien, quel que soit l'endroit où celles-ci sont placées :

Pour apporter quelque chose de nouveau, l'on découvre à présent deux types de maitresses : soit la première, bien déterminée à en mettre le plus possible (et il en reste beaucoup, sur la barre reliée au sol !)...

Ou bien la seconde, qui comme on l'a déjà vu, préfère tenir son esclave à l'envers, juste histoire de placer le maximum de pinces à linge au même endroit douloureux :

En résumé ? Il y a des gens qui ne connaissent aucune limite, et l'on se demande bien quand est-ce qu'elle pourra finir :

Bon, je m'arrête là, car il me reste encore un point important à envisager... Mais vous pouvez toujours me trouver sur le site le jour réel de mon anniversaire, autrement dit le 25 janvier. Tout ce que j'espère, c'est que vous laisserez un peu plus de commentaires que d'habitude, et que vous oserez cette fois-ci vous livrer plus sincèrement !