L'INDEX DES ESCARPINS :
  • BOTTES
  • BUFFALO & REEBOK
  • LES AUTRES MARQUES
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL :
  • C'EST LÀ !

  • samedi, mai 10, 2025

    MAID AT THE ENGLISH MANSION...

    Autrement dit, devenir au sein du fameux The English Mansion une simple maid... C'est à dire profiter une dernière fois de son aspect masculin, pour se retrouver ensuite face à l'une de ces futures maîtresses, qui va ainsi brièvement lui faire comprendre ce que c'est de se prétendre une femme :

    Mais bien sûr, ceci n'est pas suffisant pour elles toutes... Qui vont s'empresser de le contempler livré à la fameuse barre de danse, s'offrant en prime davantage de sourires que le sien :
    Enfin voilà, nous sommes déjà bien avancé pour son obéissance... Laquelle va se révéler encore plus marquée vis-à-vis de cette maîtresse, qui après une brève mise à pieds obligatoire, va le contraindre à recevoir quelques coups de fouet - disons-le, plutôt assez gentils :
    Il en va par contre différemment avec cette autre maîtresse, nettement plus déterminée dans son intention... Qui certes consiste à faire entretenir ses beaux escarpins par son esclave, mais sans lui donner le droit d'avoir à recourir à ses lèvres, le bornant tout simplement à l'usage respectueux de ses mains :
    En résumé, qu'est-ce que l'on peut trouver de mieux ? Juste être une Sissy parmi tant d'autres, livrées à une seule maîtresse, ou bien exactement le contraire... C'est là toute la question qui se pose, et la suite va en être réellement déterminante :
    En fait, je crois que la première solution était la meilleure... Car si l'on opte pour la seconde, l'esclave va pour ainsi dire se trouver réduit à un simple jeu - qui va vite s'avérer douloureux et embarrassant :
    Pour ainsi dire, il devra se conformer avec tout ce qu'elles lui demandent - et tout ceci sans avoir l'usage de ses pieds, de ses mains attachées latéralement, et de sa bouche pour parler :
    C'est la fin, je suppose... Hélas non, il reste encore un certain nombre de choses à faire subir à cet esclave désormais attaché à un pilori - l'on ne sait pas encore lesquelles, mais lui non plus, et ceci ne révèle rien de très bon face aux yeux des autres Sissy, qui doivent être bien contentes de ne pas se trouver à sa place :
    Est-ce que cela vous a plu ? A vrai dire, je me doute que tout comme moi, personne n'a envie de devenir une Sissy, même vu sous un tel angle. Mais au moins, il faut reconnaître que ceci est fait avec un charme certain, et un très grand professionnalisme à tous les niveaux... J'espère donc que pour une fois, vous oserez laisser un commentaire, ce qui me fera très plaisir !

    Libellés : , , , , , , , ,

    jeudi, avril 10, 2025

    THE RED MISTRESS EVIL

    Comme je vous l'avais déjà dit, le sens mystérieux du mot "Evil" signifie aussi bien "préjudiciable", que "malin" ou "injuste"... Ceci va être bien plus marqué dans cet article que dans le précédent, car désormais la maitresse s'habille de façon nettement plus provocante en latex rouge, et porte de hautes bottes noires :

    Elle va bien sûr exiger de son esclave un nettoyage absolu, qu'il s'agisse de ses semelles ou de ses talons, en gardant à tout hasard un fouet rapidement disponible :
    Du reste, relativement insatisfaite par le comportement de son esclave, maîtresse Evil va tout de suite lui faire abandonner ses belles bottes, afin qu'il se livre sans répliquer à une punition bien plus marquée :
    Sans parler de celle-ci, qui me semble particulièrement cruelle :
    J'ai beau être un fumeur invétéré, il me semble bien difficile d'admettre cette solution, même si l'esclave n'a pas l'air d'en souffrir énormément...
    Enfin bon, quant à moi, je n'aime pas trop cette ultime solution... Et même si ça a l'air plus douloureux, je préfèrerais m'en tenir au fouet, quitte à l'éviter en me montrant le plus respectueux possible via maîtresse Evil et ses belles bottes noires !
    Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais si jamais cela vous tente, n'hésitez pas à me laisser un commentaire... Cela me fera, comme d'habitude, énormément plaisir !

    Libellés : , , , , , ,

    lundi, mars 10, 2025

    THE WHITE MISTRESS EVIL

    Comment traduire ce nom de Evil, par "malin", "injuste", ou encore "préjudiciable" ? En fait, peu importe... Les trois mots sont de toute façon parfaitement adaptés à cette maîtresse, qui n'est pas particulièrement violente, mais se révèle tout de même comme une excellente dominatrice - ayant en outre de fort belles chaussures :

    Après s'être brièvement présentée, elle va donc se livrer à tout ce qu'elle a le droit de faire avec son esclave, qui devra commencer par lui servir un bon verre de vin :
    Si cela avait l'air bien parti, ça ne s'est pas tout à fait passé comme elle le désirait, inutile de le dire... Aussi la maîtresse va-t-elle durant un certain temps se servir de ses pieds comme humiliation potentielle pour son esclave - ce qui n'est pas très méchant, mais bien efficace :
    En tous cas, elle se résigne à le rabattre au sol, et décide de le mettre enfin à sa tache essentielle, se débrouiller pour rendre le plus propre possible ses chaussures :
    Cela passe des semelles aux hauts talons, que l'esclave totalement par terre devra lécher jusqu'à une absolue perfection :
    C'est difficile, n'est-ce pas ? Visiblement, cela l'est pour lui, et ne va pas lui attirer la bonne volonté de sa maîtresse :
    Bien que celle-ci n'était pas partie dans cette optique, elle va finalement s'appliquer à lui donner quelques coups de fouet... Non pas d'une façon très douce, mais comme on le devine grâce aux marques qu'il en a, avec une concentration impeccable :
    Pas mal, non ? En tous cas, maîtresse Evil m'apparaît bien savoir ce qu'elle veut, et rien que pour cette raison, j'espère bien vous la présenter prochainement à nouveau... Ceci ira nettement plus vite si vous osez laisser un commentaire - mais bien sûr, ce n'est pas à moi d'en décider !

    Libellés : , , , , , ,

    vendredi, janvier 10, 2025

    VRAIMENT EN GRAND PUBLIC !

    Alors, cela vous plaît toujours autant ? Tant mieux, parce qu'il a fallu que je fasse le tri parmi de nombreuses images, que j'ai décidé de positionner de cette façon, la première étant quasiment sans public, laissant tranquillement l'esclave exercer sa pure dévotion :

    Il en va de même pour les maîtresses suivantes, toujours sans public, mais bien décidées à se livrer à des actes nettement plus douloureux, que ceux-ci aient lieu sur la route ou dans la rivière :

    Enfin vient le moment où une gentille femme va offrir la vue de son esclave à tout le monde, même si ceux-ci ne sont pas encore très nombreux... Mais ils vont vite se trouver au rendez-vous avec cette autre maîtresse, qui sait bien le tenir en laisse pout qu'il se consacre avec un grand respect à ses escarpins :
    Qu'en est-il alors de ce dernier ? Certes, il n'a pas grand chose à faire, pour l'instant... Mais il a dû s'habiller en Sissy, condition absolument obligatoire pout sortir avec elle :
    Ou alors, l'on pourra garder ses vêtements traditionnels, mais à une unique condition : être bien soumis à plusieurs maîtresses, qui au passage ont l'air de bien s'amuser...
    Et ceci peut avoir ses inconvénients, notamment le fait que plutôt que leurs propres chaussures, ce sont leurs pieds qu'elle font lécher à l'esclave - qui n'a pas l'air absolument ravi :
    Résultat ? Il va de nouveau s'en remettre aux bottes... Le tout en pleine nuit, dû à la fameuse princesse dont j'avais déjà parlé il y a quatre ans, sur un article qui porte son nom, ANGEL :
    Evidemment, cela se dégrade assez vite... Surtout pour l'esclave, qui doit lécher les bottes de sa maîtresse face à beaucoup de gens, ou encore pour ces deux autres, obligés de se tenir à quatre pattes dans un café, avec la même contrainte :
    Leur masque est-il un signe d'esclavage définitif ? Je crois bien que oui... On en a la meilleure preuve ici, aux USA, ou encore - comme le laisse supposer l'orthographe différente du mot - en Allemagne :
    C'est encore plus clair avec cette photo, qui ne nous montre pas l'esclave léchant les superbes bottines de sa maîtresse, mais comme si celle-ci était par avance dégoûtée, juste en train de bien les essuyer à l'aide d'un torchon qui est fixé dans sa bouche :
    A moins qu'il ne préfère ceci : se montrer relativement calme, sans masque ni chaîne... Mais devant vénérer ces nombreuses maîtresses, appuyant les bottes sur lui - le tout avec un grand sourire :
    Que se passe-t-il à la fin ? Toujours la même chose, ce qui a l'air de faire très plaisir à ces dames... Avec cette petite inscription sur son torse, que je vous laisse le soin de traduire : "He's our bitch !" :
    Je crois que c'est la seconde fois que je traite de ce sujet - qui semble plus important aux Etats-Unis qu'en Europe... Mais on ne sait jamais, n'est-ce pas ? Peut-être qu'un commentaire de votre part sera le bienvenu, à tel point que j'écrirai un nouvel article autour de ce thème, assez rarement évoqué ici !

    Libellés : , , , , , , , ,