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  • vendredi, novembre 01, 2024

    I FEAR THE CHASTITY CAGE...

    Bien sûr que j'en ai peur - comme tout le monde, je crois... Alors au début, cela peut plutôt bien se passer, d'autant que l'esclave n'a qu'à admirer en silence les bottes de sa maîtresse :

    Mais cela peut assez vite se dégrader, surtout quand l'esclave constate que toute sa douleur ne peut être agréable que pour elle - étant donné la façon dont elle repose ses jambes sur un système d'équilibrage plutôt bien conçu :
    Bien sûr, il souffre beaucoup ainsi... Peut-on pour autant comparer cela à ce pilori, où tout ce qu'il y a à faire consiste à lécher les bottes de sa maîtresse ? J'en doute fort, surtout lorsque celles-ci sont aussi sales que sur la seconde photo :
    La plupart du temps, il a même les mains totalement absentes de l'endroit en question - ne lui laissant en usage que la seule chose vraiment utile, sa langue :
    Mais il y a bien d'autres possibilités, notamment celle-ci... Et ceci réjouit bien cette maîtresse, dirait-on :
    Evidemment, tant qu'il n'était pas contraint, cela pouvait encore passer... Mais cela ne va guère durer, et rendre notre esclave bien plus soumis qu'il en a l'habitude, surtout dans le second cas :
    Comment interprétez-vous la photo suivante ? Toujours est-il que l'esclave n'a désormais plus aucune possibilité de se satisfaire de ses propres mains, et semble même avoir en bouche ce que souhaite la maîtresse en question :
    Mais avant tout cela, elle va déjà le soumettre au strict minimum - sachant bien sûr qu'il ne bénéficiera d'aucune jouissance de son côté :
    Ce qui semble parfaitement adapté au désir des deux nouvelles maîtresses - qui souhaitent utiliser au mieux leur esclave, sans que celui-ci ait la moindre possibilité de faire autre chose :
    Que dire alors, lorsque trois autres se pointent sur lui, exigeant naturellement de l'esclave qu'il soit obéissant et très appliqué ?
    En tous cas, cela doit être relativement dur, de donner à une maîtresse tout le plaisir qu'elle souhaite, sans en récupérer le moindre... C'est la raison pour laquelle j'intitule cet article I fear the Chastity Cage, dans lequel je préfère vraiment les cinq premières photos, qui m'apparaissent nettement plus agréables à voir - ou pourquoi pas, à vivre - que les suivantes...

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    mardi, février 27, 2024

    BD SUBMISSED (2)

    Une grande nouveauté de ma part : cette série de trois articles entièrement dédiés à la fameuse BD intitulée Submissen (qui je crois provient du Danemark, mais je n'en suis pas sûr), et dont les valeurs fondamentales restent toujours les mêmes - y compris le fait que le pauvre homme devient désormais un esclave Sissy jusqu'à la fin...

    Meilleure preuve dès le début, où il porte comme à l'accoutumée un bâillon, deux pinces sur les seins, et bien sûr une cage de chasteté, sans parler de ses habits féminins... Mais cela n'a pas l'air de déplaire aux maîtresses, qui sont ravies de le voir ainsi apporter leurs apéritifs :

    Une fois servies, celles-ci vont commencer à passer à autre chose, on ne sait alors pas exactement ce dont il s'agit... Mais ceci devient bien plus clair avec la dernière maîtresse, qui outre une revue érotique visiblement SM, regarde avec un léger sourire son esclave presque nu - qui comme beaucoup d'autres a le mot "Slut" gravé sur sa poitrine, autrement dit "Prostituée" :
    Apparemment, cela n'a pas abouti... Mais au fond, il importe assez peu, puisqu'il reste à la maîtresse tout un travail de beauté à faire, que cet esclave soit converti en simple chaise, ou bien se borne à assister tout nu et bien entravé à cette contemplation dans la glace :
    De toute façon, il n'y a pas autre chose à faire, en attendant... Jusqu'à ce que les deux femmes présentes décident d'évaluer les capacités de leur Sissy, qui l'on s'en doute sont illimitées :
    Si jamais celui-ci n'est pas d'accord avec ses maîtresses, il leur reste deux possibilités : primo, contraindre cet esclave à nettoyer proprement toute la maison, le torchon dans sa bouche, et ses pieds très gênés par des bottes excessivement hautes, roses comme tout le reste...
    Secundo, l'enfermer totalement enchaîné dans les toilettes de l'immeuble, le laissant juste contempler l'acte solitaire de sa maîtresse, avec en prime toute cette phrase accrochée sur le mur : "Prostituée libre d'usage... Il n'a aucun droit, aucune limite, aucun propriétaire, alors fais-en ce que tu veux" :
    Il vaut mieux écouter cette phrase, non ? En tous cas, c'est ce que décide de faire sa maîtresse durant un premier temps, juste qu'à ce qu'elle se résolve, accompagnée d'une amie en pleine forme, à lui démontrer à quel point il est ridicule et pathétique :
    Pour ainsi dire, il reste assez peu de possibilités... Exception faite de cette comparaison plutôt facile entre les beaux seins des maîtresses et ceux ridicules de l'esclave, ou encore un coup de fouet vaguement donné à ce dernier, afin de lui faire bien servir les apéritifs :
    Ou alors, autant s'amuser au maximum, n'est-ce pas ? Ce n'est provisoirement plus une Sissy, mais il devra tout autant se livrer à ses maîtresses... Surtout dans cette dernière vue, où on le force à regarder à la télévision cette image particulièrement dure - et qui existe pour de bon, comme vous pourrez le constater ici :
    Vous allez peut-être me dire que c'est inadmissible, mais je vous rappelle que c'est uniquement de la BD - certes, d'une très grande qualité, mais traitant uniquement d'un monde virtuel, qui heureusement n'existe que très peu en réalité...

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    lundi, février 26, 2024

    BD SUBMISSEN : PUNITION

    Une grande nouveauté de ma part : cette série de trois articles entièrement dédiés à la fameuse BD intitulée Submissen (qui je crois provient du Danemark, mais je n'en suis pas sûr), et dont les valeurs fondamentales restent toujours les mêmes - y compris le fait que le pauvre homme devient désormais un esclave Sissy jusqu'à la fin...

    Nous en arrivons à l'ultime partie, qui débute naturellement avec une scène assez classique, tournée de nuit dans un bar sympathique, suivie par la mise en vente d'un autre esclave par ces deux maîtresses - qui ont l'air très peu sensibles à sa dépression apparente :

    Mais ceci s'en va vite vers une chose plus sérieuse, la démonstration par le professeur de la supériorité des femmes sur les Sissy... Ce qui est encore mieux montré par le vêtement typique de cet esclave, et particulièrement par la phrase inscrite sur le tableau, "Proper use of males", autrement dit "Utilisation appropriée des mâles" :
    Il est à noter que les élèves ont l'air fort attentives, prenant quelques photos, levant même la main pour répondre à cette phrase qu'elles ont l'air d'approuver, et qui dit tout simplement : "Bon usage des hommes, à fouetter quotidiennement... À enfermer dans sa cage de chasteté lorsqu'il n'est pas utilisé" :
    Bien que l'on ne sache pas clairement si les futures maîtresses ont fréquenté cette école, il est clair qu'elles en respectent la plupart des points de vue... Même si ceci part un peu dans tous les sens :
    Certes, l'on peut bien se distraire avec un homme complètement nu, surtout s'il est bien attaché... D'autant plus qu'on n'a pas vraiment besoin de lui pour se faire plaisir, n'est-ce pas ?
    Toutefois, ceci est franchement mieux lorsqu'il porte définitivement ses habits de Sissy... Et bien que ces maîtresses ont déjà l'air contentes de le voir en sous-vêtements avec la fameuse phrase "Whore slut" gravée sur sa poitrine, elles semblent bien plus heureuses de le contempler totalement habillé en rose, portant des bottes à très hauts talons - d'autant plus qu'elles le maîtrisent parfaitement :
    Ainsi peut-on passer à la phase suivante, qui s'avère nettement plus difficile à supporter pour la Sissy...
    Particulièrement sur ce second dessin, où elle apparaît entravée de tous les côtés, prête à se soumettre à deux religieuses semblant lire leur texte - image que j'adore personnellement, mais je n'ai pas besoin de vous dire pourquoi :
    Que dire de plus, au sujet de ces deux dernières cérémonies ? Bien sûr, il n'y a un qu'un unique esclave... Mais celui-ci a l'air de donner un grand plaisir à ses nombreuses maîtresses, qui ne reculent devant rien pour obtenir ce qu'elles veulent :
    Vous allez peut-être me dire que c'est inadmissible, mais je vous rappelle que c'est uniquement de la BD - certes, d'une très grande qualité, mais traitant surtout d'un monde virtuel, qui heureusement n'existe que très peu en réalité...

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