VERY HIGH HEELS... LAST TEXT ?

Je sais que c'est un sujet bien connu des amateurs, mais je crois que je ne suis pas allé assez loin, la dernière fois... Certes, il est toujours agréable de découvrir les fascinants escarpins de ces maîtresses, surtout quand la toute première d'entre elles a l'air aussi gentille :

Mais bien sûr, ça ne va pas durer très longtemps... Et ce qui entraîne le plus ces jeunes filles va bientôt se rabattre sur l'esclave, contraint de nettoyer au mieux ces chaussures, qui s'avèrent bien sales, finalement :

S'il n'est pas d'un grand enthousiasme, tant pis pour lui... C'est s'exposer au mieux aux escarpins de ces maîtresses, qui vont être de plus en plus exigeantes au fur et à mesure que leur nombre s'accroît :

Et même si ceci n'est pas le cas, l'esclave devra se trouver fort heureux de ne servir qu'une seule maîtresse... Dont il devra en échange nettoyer toutes les chaussures qu'elle possède, et cela n'est pas rien - même si il a la grande chance qu'elles ne soient pas trop sales :

Hélas, il n'y a pas grand chose à faire pour le contraindre à cette obéissance... C'est pourquoi l'on va passer à un autre stade, bien plus dégradant pour lui, mais obligatoire pour sa maîtresse :

Désormais, il va se montrer beaucoup plus sage... Et cela paraît évident aux yeux de ces maîtresses, se livrant maintenant à ce qu'elles ont envie de faire, peu importe son attitude - vu qu'il n'a que très peu de possibilités d'aller contre :

Au cas où, il reste encore à la femme dominatrice le loisir de placer son esclave dans un pilori... Ce qui lui laissera peu de chances de s'opposer à sa volonté, même si celle-ci peut paraître extravagante :

Que dire alors de ce qui a l'air d'une immobilisation excessive ? Sans doute, la première photo est bien le signe d'une parfaire obéissance à sa maîtresse, mais c'est incontestablement sur la seconde que l'on découvre la soumission absolue qui lui est imposée :

Résultat ? Certes, l'on peut redonner à son esclave ses mains libres, mais c'est en échange de ce qui lui paraissait important à ses yeux : le fait de malgré tout rester un homme... Car ce n'est plus désormais qu'une fausse femme, une Sissy, comme on dit :

Si cela ne lui plaît pas non plus, il ne reste à la maîtresse qu'une unique solution : l'attacher ainsi déguisé, que cela soit sur une simple chaise ou une table plus gênante, en restreignant tout accès à ses organes... Et bien sûr, cela peut durer très longtemps :

Allez-vous me dire encore une fois que je vais là trop loin ? J'en doute... Mais si ça n'est pas le cas, soyez assez gentils pour me laisser un commentaire, ce qui me fera très plaisir !

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