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  • mercredi, mai 01, 2024

    LÈCHE TOUJOURS MES BOTTES, FEMME !

    A NOTER : J'ATTENDS TOUJOURS DES COMMENTAIRES POUR FAIRE AVANCER CE SITE - et ceux-ci sont définitivement rares, même si je publie uniquement en français ! Cette fois-ci, je vous entraîne dans le dernier article à ce sujet, qui se révèle très différent du précédent (Lèche sans cesse mes bottes, esclave !), déjà car il s'en tient aux 16 photos habituelles, mais surtout parce qu'il ne parle encore une fois que des femmes entre elles, ce qui est plutôt rare ici...

    Par contre, mon point de vue va s'avérer pour une fois quelque peu différent, au sens où je ne reviendrai plus sur leur attitude plutôt tendre et douce, mais au contraire me laisserai entraîner vers une position parfois fort proche de celle qu'elles ont avec les hommes - c'est à dire franchement BDSM !

    Comme la dernière fois, je démarre avec deux positions axées sur les escarpins ou les sneakers, mais dès ce moment-là, il faut noter que l'on voit clairement qui est la dominatrice - et encore, ceci est plutôt tranquille, mine de rien :

    De même lorsque les maîtresses décident enfin de porter des bottes, ce qui met encore plus en difficulté les deux soumises, contraintes de rester bien à terre :
    Evidemment, l'on pourrait croire à une certaine gentillesse :
    Mais ce n'est parfois pas du tout le cas, et ici, l'on n'aura pas forcément envie d'être à la place de cette soumise totalement nue, contrainte par différents moyens de s'occuper de la propreté du sol :
    Je préférerais très nettement cette attitude, même si il est clair de voir qui est sans aucun doute la dominatrice :
    Mais j'aurais certainement tort, car la maîtresse ne va pas tarder à l'attacher pour de bon, de façon à ce qu'elle ne puisse rien faire de sa propre volonté - la seule existante étant la sienne, bien entendu :

    A partir de ce moment-là, elle n'aura plus grand chose à faire pour reléguer la femme qu'elle domine à son humble position de soumise absolue - sauf bien sûr les contraintes désormais habituelles :
    Et ces contraintes peuvent se révéler relativement douloureuses - et là, malheureusement, il n'y a que la maîtresse qui puisse décider à quel moment arrêter cette souffrance :
    En plus, la soumise ne sait pas du tout ce qui l'attend après ce difficile moment, qu'il s'agisse de se faire monter à cheval et guider par une chaîne, ou bien de servir à l'unique chose qui intéresse la maîtresse - même s'il faut pour cela vous contraindre contre votre volonté :
    Certes, il y a des circonstances où vous ne tirerez pas un trait dessus... Mais croyez-moi, cela vous plairait bien plus si c'était vécu de façon volontaire et harmonieuse - et au fond, peu importe que l'on soit deux ou plus, n'est-ce pas ?

    Je pense que cet article ne vous a - soi-disant - pas beaucoup plu, et que vous vous abstiendrez de laisser un commentaire, comme d'habitude... Cependant, au cas improbable où vous changeriez d'avis, je vous donne l'autre lien envers un article concernant les femmes entre elles, Bonne année 2024 à toutes !, plus les liens traditionnels des quatre autres articles sur le même sujet lié aux hommes : Lèche mes bottes, esclave !Lèche encore mes bottes, esclave !Lèche toujours mes bottes, esclave ! et Lèche sans cesse mes bottes, esclave !

    En tous cas, si vous avez envie d'en parler, n'oubliez pas : je suis toujours là !

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    lundi, janvier 01, 2024

    BONNE ANNEE 2024 À TOUTES !

    Evidemment, j'aurais pu dire "Bonne année à tous", mais les circonstances sont quelque peu différentes...

    Vous devinez en quoi, bien sûr ! Cette fois-ci, je vous entraîne dans un quatrième article sur un autre sujet, qui se révèle très loin du précédent (Lèche toujours mes bottes, esclave !), déjà car il s'en tient désormais aux 16 photos habituelles, mais surtout parce qu'il ne parle plus que des femmes entre elles, ce qui est plutôt rare ici...

    Une chose est à noter absolument, par rapport à l'attitude qu'elles ont lorsqu'elles cessent de dominer un homme... C'est qu'elles se montrent beaucoup plus tendres ici, et qu'elles semblent davantage aimer cela que les membres de l'autre sexe :

    Même en se montrant un petit peu plus dominatrices, elles semblent toujours en avoir énormément envie, que l'on soit d'un côté ou de l'autre :
    En fait, cela paraît les faire sourire bien plus que les hommes, et rien que pour cette particularité, on aimerait beaucoup être à leur place :
    Enfin, comme dans tout phénomène, il y a aussi des limites... Qui peuvent entraîner l'une des femmes à avoir l'air moins gai que prévu, et l'autre à se montrer très obéissante, vu la chaîne et la cravache dont dispose sa maîtresse :
    Et ce n'est pas le pire... On s'en rend compte lors de cette scène, où la femme en blanc, entièrement menottée aux mains et tenue en laisse, est contrainte de faire ce dont elle n'a pas forcément envie :
    Il en va de même pour celles-ci, où l'on découvre des contraintes de plus en plus menaçantes - juste au cas où :
    Heureusement, tout se relâche, au bout d'un moment... Et si l'on n'a pas forcément envie d'être la seule à nettoyer les bottes de ces trois femmes, peut-être cela est-il quand même préférable au fait de se retrouver à quatre pour lécher l'unique paire de la maîtresse suivante :
    Voire de se retrouver face à un groupe bien organisé, qui a l'air de beaucoup s'amuser en vue de ce qui va se produire :
    Une chose est sûre : en tant que lesbienne - parce que c'est le terme habituellement employé -, je préférerais cent fois avoir tout le loisir que je veux, si possible avec la femme que j'aime, et même jusqu'à un certain point :

    Je pense que cet article ne vous a - soi-disant - pas beaucoup plu, et que vous vous abstiendrez de laisser un commentaire, comme d'habitude... Cependant, au cas improbable où vous changeriez d'avis, je vous donne les liens des trois autres articles concernant ce sujet : Lèche mes bottes, esclave !Lèche encore mes bottes, esclave ! et Lèche toujours mes bottes, esclave !

    En tous cas, si vous avez envie d'en parler, n'oubliez pas : je suis toujours là !

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    dimanche, décembre 31, 2023

    PROCHAINEMENT...

    Et bien, ça dépend de vous, tout simplement... Parce que j'ai eu huit commentaires sur l'article LÈCHE MES BOTTES, ESCLAVE !, et d'un seul coup plus rien sur les deux derniers articles qui lui ont succédé (celui-ci ou celui-là). C'est assez étonnant, non ?

    En tous cas, si jamais cela est possible, cela va énormément changer :

    Vous devinez en quoi, j'imagine... En tous cas, je vous laisse la possibilité pour le 1er janvier 2024 (et oui, ce n'est plus le 1er décembre 2023, désormais) - si jamais vous laissez une petite note sur l'un des deux derniers articles, bien sûr !
    Et puis bon, en fait, nous sommes seulement à quelques jours de cette fiesta, donc en guise de cadeau à tous ceux qui lisent encore ce post, je vous donne d'emblée le lien vers cet article surprenant du premier janvier : BONNE ANNEE 2024 À TOUTES !

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    samedi, juillet 01, 2023

    LÈCHE ENCORE MES BOTTES, ESCLAVE !

    NOTE : I AM STILL WAITING FOR COMMENTS TO MOVE THIS SITE FORWARD...

    A NOTER : J'ATTENDS TOUJOURS DES COMMENTAIRES POUR FAIRE AVANCER CE SITE, qui à part ceux de John, très régulier, sont définitivement rares - même si je publie désormais en français ! Enfin bon, je vous entraîne quand même dans le second article à ce sujet, qui se révèle légèrement différent du précédent (Lèche mes bottes, esclave !)...

    A priori, il a l'air totalement identique, vu la présence de ces femmes plutôt gentilles avec eux - exception faite, bien sûr, des contraintes traditionnelles :

    Mais en réalité, il en va parfois différemment, notamment en Autriche, où le panneau porté au cou par l'esclave décrit sa propre humiliation :
    Ou encore ici en Chine, dans lequel la maîtresse ne s'intéresse qu'à une chose, le livre qu'elle lit... Du moins, tant que l'homme est capable d'obéir à ses ordres :
    On peut certes aller un peu plus loin, et contraindre l'esclave de façon assez sévère à faire ce qu'on lui a demandé, d'autant que les bottes sont plutôt sales :
    Voire se décider à l'extrême, et tirer sur toutes les cordes possibles pour obliger l'esclave à faire correctement son humble travail - ce qui a l'air de bien réjouir sa maîtresse, au moins :
    Quoi qu'il en soit, je vous livre maintenant les six dernières photos, et vous vous doutez naturellement de ce en quoi elles sont différentes :
    Bien sûr, il s'agit de femmes entre elles - pas vraiment de maîtresses et d'esclaves, en quelque sorte... Mais en prime, elles semblent parfois fort heureuses de se livrer volontairement à tout cela :
    Bien que de temps en temps, les bottes de l'une d'entre elles semblent plutôt sales, et contraignent l'autre fille à se montrer un peu plus respectueuse que d'habitude :
    Sinon, pas d'autre solution que celle-ci, n'est-ce pas ? On ne sait pas trop à quoi la femme est contrainte, mais l'on se doute qu'elle a tout intérêt à faire ce qu'on lui demande :

    Je pense que cet article ne vous a - soi-disant - pas beaucoup plu, et que vous vous abstiendrez de laisser un commentaire, comme d'habitude... Cependant, au cas improbable où vous changeriez d'avis, je vous donne les liens de l'autre article concernant ce sujet : Lèche mes bottes, esclave !.

    En tous cas, si vous avez envie d'en parler, n'oubliez pas : je suis toujours là !

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