SISSY, POUR RESUMER...

Vous savez ce que c'est qu'un Sissy, n'est-ce pas ? C'est un drag queen, autrement dit un mot anglais beaucoup moins humiliant que travesti, mais il signifie en fait la même chose : pour un homme, s'habiller - pour une fois - en femme, et la meilleure raison à cela (que j'ai volontairement choisie ici), c'est d'y être contraint par une vraie femme, dont les possibilités sont quasiment infinies.

Je vous en fait clairement un résumé... Evidemment, l'essentiel pour le Sissy est de se livrer à son travail, et celui-ci n'est pas simple, croyez-moi sur parole :

A tel point que la maîtresse est souvent obligée, contre son gré, de surveiller celui-ci - voir même de l'imposer :

Certes, si cela ne se passe pas comme prévu, il ne reste plus à la maîtresse qu'à tenter de se faire comprendre, au début par une punition somme toute assez légère :

Mais en général, cela ne suffit pas... Et il convient à cette dernière de condamner Sissy à rester attachée à son fauteuil - pour une durée l'on s'en doute indéterminée :

Même au Japon, l'on procède ainsi... Bien que la technique soit légèrement différente :

Quoiqu'il en soit, il est toujours préférable de se retrouver tel quel, plutôt que comme cela, attaché à une croix... Où l'on se doute que la maîtresse va désormais se livrer à tout ce qu'elle estime favorable, que Sissy aime ceci ou non :

Ce qui peut aller jusqu'à un point qu'elle n'a pas imaginé, avec sa prétendue sœur... Et elle ne sait pas non plus combien de temps cela va durer, cela dépend entièrement de la propre volonté de la seule vraie femme en ce lieu :

En résumé ? Tout ce que Sissy a à faire, c'est de se montrer très obéissante à sa maîtresse, et ceci quel que soit le costume qu'elle l'oblige à porter :

Et ceci reste vrai, que celle-ci soit seule ou non :

Comme je vous l'avais déjà prouvé dans le premier article, seul importe finalement le respect que les Sissys lui montrent... Et même si celles-ci se trouvent nombreuses, ils/elles restent néanmoins à leur place, qui est entièrement vouée à l'obéissance de leur deux maîtresses :

Bon, je reconnais qu'il s'agit d'un article inédit sur ce site, mais bien que n'étant pas spécialement concerné, je me suis tout de même assez bien documenté sur le sujet... De quoi en revenir aux trois articles précédents, à chaque fois sur un thème relativement différent :

1) SISSY, TON ATTITUDE ! C'est ici...

2) SISSY, UN PEU DE FOUET ! C'est là...

3) SISSY, DE NOMBREUSES CONTRAINTES ! C'est encore là...

J'espère que vous aimerez beaucoup, et que même si cela ne fait pas partie de vos émotions favorites - ce qui est bien compréhensible -, j'ose espérer que contrairement à l'habitude courante ici, vous laisserez sans tarder un commentaire !

SISSY, DE NOMBREUSES CONTRAINTES !

Vous savez ce que c'est qu'un Sissy, n'est-ce pas ? C'est un drag queen, autrement dit un mot anglais beaucoup moins humiliant que travesti, mais il signifie en fait la même chose : pour un homme, s'habiller - pour une fois - en femme, et la meilleure raison à cela (que j'ai volontairement choisie ici), c'est d'y être contraint par une vraie femme, dont les possibilités sont quasiment infinies.

Pour la première fois, il s'agit pour la maîtresse de montrer clairement à Sissy ce dont elle est capable... Et ceci est très simple, puisqu'il lui suffit de le fixer amplement à une chaise - et ceci, sans lui donner la moindre idée de ce qui pourra se passer par la suite :

Bien sûr, il y a mieux - ou moins bien, c'est selon... En tous cas, elle va remettre Sissy à son travail habituel, le contraignant juste par sa ligature des mains à vraiment bien le faire :

Mais évidemment, l'on peut encore faire beaucoup mieux, en le rendant désormais incapable de parler - ce qui n'est pas un grand luxe, vu qu'il se servait surtout de cela pour se plaindre :

En tous cas, la maîtresse se voit bien vite obligée de passer à un cadre supérieur... Qui consiste à fixer définitivement Sissy au sol, le rendant tout aussi incapable de parler que de bouger la moindre partie de son corps - et ceci, on ne sait pour combien de temps :

Il en va de même pour celui-ci, qui bien qu'ayant de nouveau la possibilité de parler, se trouve encore plus fermement ligoté face au lit :

Nous passons alors au dernier stade possible : celui d'être un tout petit peu moins incarcéré, mais cette fois-ci avec les menottes habituelles aux mains et aux pieds, la restriction des parties génitales, la douleur des seins, et bien sûr la présence obligatoire de la maîtresse :

Qui peut s'avérer encore plus efficace que prévu, non seulement en lui fixant solidement le bâillon, mais en outre en laissant une autre femme se livrer à ce qui lui fait plaisir :

On ne sait pas forcément de quoi ça a l'air, mais je pense que cette dernière image en donnera une assez bonne idée... En apparence, deux femmes s'y réunissent, mais ce n'est évidemment qu'illusion : malgré son visage sympathique, Sissy à droite a l'air plutôt angoissé, et l'on comprend vite pourquoi, en voyant ce que la vraie maîtresse de gauche se prépare à faire, l'air très réjoui : 

Bon, je reconnais qu'il s'agit d'un article inédit sur ce site, mais bien que n'étant pas spécialement concerné, je me suis tout de même assez bien documenté sur le sujet... De quoi en revenir aux deux articles précédents, à chaque fois sur un thème relativement différent, ou bien de passer au suivant - le dernier, pour l'instant :

1) SISSY, TON ATTITUDE ! C'est ici...

2) SISSY, UN PEU DE FOUET ! C'est là...

4) SISSY, POUR RESUMER... C'est encore là...

J'espère que vous aimerez beaucoup, et que même si cela ne fait pas partie de vos émotions favorites - ce qui est bien compréhensible -, j'ose espérer que contrairement à l'habitude courante ici, vous laisserez sans tarder un commentaire !

SISSY, UN PEU DE FOUET !

Vous savez ce que c'est qu'un Sissy, n'est-ce pas ? C'est un drag queen, autrement dit un mot anglais beaucoup moins humiliant que travesti, mais il signifie en fait la même chose : pour un homme, s'habiller - pour une fois - en femme, et la meilleure raison à cela (que j'ai volontairement choisie ici), c'est d'y être contraint par une vraie femme, dont les possibilités sont quasiment infinies.

La plus simple est bien sûr pour cette dernière de donner un ou deux coups sur les fesses des Sissy ici présents - ce qui au départ est fait de façon plutôt sympathique, comme le montre le sourire de cette femme :

Mais ceci ne va pas durer bien longtemps, car quelles que soient les fautes commises par Sissy, la maîtresse a cette fois-ci besoin d'un objet nettement plus contondant en bois... Et son habit nettement plus sérieux définit bien qui est l'esclave, et qui règne sur les lieux :

Cela ne va que se renforcer lorsque la femme va enfin se décider à utiliser le vrai fouet, qui est encore plus douloureux... Et même si Sissy semble toujours porter le même costume de maid, je ne voudrais pour rien au monde être à sa place pour endurer une telle souffrance, qui laisse des marques bien plus profondes :

Si la jolie maîtresse a davantage de Sissy à fouetter, cela ne la gêne d'ailleurs visiblement pas beaucoup :

Toutefois, je vais pour une fois vous laisser mon propre point de vue : si jamais cela devait m'arriver - pour on ne sait quelle raison -, je préfèrerais cent fois me sacrifier à ces deux orientales... Quel que soit l'ampleur de leur punition, elles me paraissent toutes les deux très belles et fort bien habillées pour en avoir le plus strict droit :

En tous cas, mieux vaut se retrouver à cette place qu'à celle du pauvre Sissy ici présent... Désormais attaché de tous les côtés, il n'a plus rien à faire pour s'opposer au nombre de coups de fouet que sa maîtresse souhaite lui donner :

Idem pour celui-ci, encore bien plus contraint, ne serait-ce que par les bras... Et lorsque l'on voit le grand calme de la dame en question, cela semble bien parti pour durer encore plus longtemps :

Quoi qu'il en soit, cela vaut tout de même mieux que cette dernière image... Non seulement à cause de l'aspect déplorable de Sissy, à la bouche et ses parties génitales fortement restreintes, mais surtout à l'air fortement détendu de sa maîtresse, qui s'apprête à jouer de son véritable fouet avec un grand sourire :

Bon, je reconnais qu'il s'agit d'un article inédit sur ce site, mais bien que n'étant pas spécialement concerné, je me suis tout de même assez bien documenté sur le sujet... De quoi vous offrir encore deux article supplémentaire (tout en se souvenant du premier), à chaque fois sur un thème relativement différent :

1) SISSY, TON ATTITUDE ! C'est ici...

3) SISSY, DE NOMBREUSES CONTRAINTES ! De nombreuses contraintes...

4) SISSY, POUR RESUMER... C'est là...

J'espère que vous aimerez beaucoup, et que même si cela ne fait pas partie de vos émotions favorites - ce qui est bien compréhensible -, j'ose espérer que contrairement à l'habitude courante ici, vous laisserez sans tarder un commentaire !

SISSY, TON ATTITUDE !

Vous savez ce que c'est qu'un Sissy, n'est-ce pas ? C'est un drag queen, autrement dit un mot anglais beaucoup moins humiliant que travesti, mais il signifie en fait la même chose : pour un homme, s'habiller - pour une fois - en femme, et la meilleure raison à cela (que j'ai volontairement choisie ici), c'est d'y être contraint par une vraie femme, dont les possibilités sont quasiment infinies.

Evidemment, l'on commence tout doucement, avec cette simple image de la maîtresse et de sa bonne... Mais il faut quand même noter que leur couleur n'est pas du tout identique, et que leur attitude est complètement différente - ne serait-ce que par la supériorité des gestes et la beauté des vêtements de celle qui mène tout :

Il faut bien se douter que cette attitude confortable ne va pas durer pour Sissy... Qui va donc au tout début être obligé de se livrer à des tâches que sa maîtresse ne pratique plus depuis longtemps :

Voire de se livrer - une fois changé de manière plutôt sympathique - au travail évident de femme de chambre ou de maid :

Ceci se voit particulièrement bien ici, où Sissy est tout simplement à genoux, paré d'habits compatibles à son tout petit grade, et servant avec compassion la belle femme qui l'a engagé :

Néanmoins, le fait de se retrouver d'un seul coup déguisé en Sissy peut mettre certaines personnes mal à l'aise, au point qu'elles dédaignent provisoirement les travaux à faire... Mauvaise idée, car la maîtresse ne porte pas ce nom pour rien, et qu'elle va s'empresser de tout rendre obligatoire à sa façon - que peut-être il n'appréciera pas, mais il sera hélas trop tard pour se plaindre :

Il vaut donc bien mieux se plier aux tâches exigées, même si celles-ci semblent un tout petit peu exagérées à Sissy :

Sinon, il restera toujours à la maîtresse cette possibilité... Non seulement plus dégradante pour lui, mais laissant en outre à celle-ci tous ses droits, qu'il s'agisse des contraintes habituelles à son cou et à ses pieds, ou encore mieux les punitions futures qui sont déposées devant lui - juste au cas où :

Comme vous le voyez, c'est un milieu bien particulier, où les travestis ne rigolent que si les bonnes maîtresses leur en donnent l'autorisation... La plupart du temps, cela va toujours à l'avantage des vraies femmes, qui peuvent même à l'occasion mettre en compétition les nombreuses Sissy disponibles :

Bon, je reconnais qu'il s'agit d'un article inédit sur ce site, mais bien que n'étant pas spécialement concerné, je me suis tout de même assez bien documenté sur le sujet... De quoi vous offrir encore trois articles supplémentaires, à chaque fois sur un thème relativement différent :

2) SISSY, UN PEU DE FOUET ! Un peu de fouet...

3) SISSY, DE NOMBREUSES CONTRAINTES ! C'est ici...

4) SISSY, POUR RESUMER... C'est là...

J'espère que vous aimerez beaucoup, et que même si cela ne fait pas partie de vos émotions favorites - ce qui est bien compréhensible -, j'ose espérer que contrairement à l'habitude courante ici, vous laisserez sans tarder un commentaire !

SAINT-JERÔME !

Certes, ce n'est pas encore mon anniversaire, qui ne devrait venir que le 25 de ce même mois... Mais c'est le jour de mon second prénom, Jérôme, et rien que pour cela, je vais essayer de deviner ce qu'il pouvait avoir dans la tête, à l'occasion de ce petit rituel ! Pour bien cadrer avec le jour en question, j'en ai trié 22 photos, de la plus tendre à la plus dure, et j'espère bien que ça vous ira...

L'homme est prêt à tout pour se soumettre à la femme, qu'il considère depuis longtemps comme bien supérieure... Raison de plus pour s'engager à fond dans ce travail finalement peu fatiguant, qui en outre lui est demandé par une fort jolie maîtresse, n'est-ce pas ?

Il n'a du reste aucun raison de se plaindre, et ce n'est pas parce qu'il est presque nu et l'autre femme complètement habillée, qu'il va trouver quelque chose à dire contre cet acte bien naturel :

Ce n'est pas tout à fait pareil avec cet autre Jérôme, puisque quant à lui, il est à la fois contraint de porter un masque, d'être tiré par une corde, et de se livrer à le seule volonté de cette maîtresse, apparemment en très grande forme :

C'est à peu près à ce moment que l'homme, chargé d'un travail bien précis sur les chaussures de la femme, va être obligé de s'habiller ainsi, que cela lui aille ou non :

En tous cas, il y a quelque chose qui n'a sûrement pas plu à cette dernière, car celle-ci ira jusqu'au bout, afin que sa chaussure soit réellement propre, et de tous les côtés... 

Inutile, d'ailleurs, espérer changer de costume, car il sera désormais définitivement une soubrette, une maid, ou encore une Sissy... Pour l'instant, il devrait du reste être fort content, puisqu'il n'a qu'à prouver à quel point il vénère sa maîtresse, et à respecter le travail qu'il se doit d'effectuer, quel que soit l'air arrogant dont elle se pare pour l'instant :

Du reste, elle en prend très vite conscience, et n'hésite absolument pas à montrer à l'esclave ce dont elle est capable... L'attacher vigoureusement, le contraindre à porter lui aussi des bottes, et le soumettre aux siennes, c'est la moindre des choses, n'est-ce pas ?

Malheureusement, elle a oublié jusqu'à quel point le nommé Jérôme peut encore se montrer un vrai mâle... Elle va donc se livrer à cet acte essentiel, poser une cage de chasteté - qu'il n'a pas l'air d'apprécier énormément, mais après tout, c'est bien de sa faute, non ?

Le voici donc enfin complètement soumis aux bottes et au fouet de sa maîtresse, tout en étant désormais une maid fort raisonnable et bien attachée, ce qui est tout ce qui lui convient... D'ailleurs - du moins c'est ce que j'en pense -, la photo est vraiment superbe :

Au cas où il resterait encore quelque chose à faire, afin d'obtenir le véritable asservissement de la soubrette en question, je crois qu'il n'y a pas d'autre voie que celle-ci, hélas :

Mais cela marche très bien, normalement, comme semble le prouver avec aisance cette maîtresse orientale, face à sa future maid - ou encore Sissy, peu importe :

Quoiqu'il en soit, j'en suis désormais arrivé à la moitié de mes 22 photos... Adoncques, au cas où ça ne vous plairait pas, il est encore temps d'abandonner, avant que vous ne compreniez ce qui se passe dans la tête de Jérôme ! Car évidemment, cela va de pire en pire pour lui - pardon, je voulais dire pour elle, excusez-moi...

Car il n'y a plus qu'une seule chose à faire, obéir très strictement à tous les ordres que lui donne la maîtresse, quels qu'ils soient, et ceci afin de se comporter comme une véritable soubrette :

Ce qu'il doit maintenant faire, c'est très simple : ne rien dire, ne pas bouger, et se contenter de faire très plaisir à madame... Il ne va tout de même pas se plaindre pour cela, non?

Soyons clairs, et supposons qu'il doive servir à boire non pas à une seule, mais à trois maîtresses... Il me semble assez évident qu'il n'y ait pas beaucoup de possibilités de faire autrement :

Et encore, ces femmes étaient très sympathiques envers lui - ou elle, pardon -, car elles ne l'ont même pas empêché de parler ! Mais il suffit qu'il se soit désisté à la règle une seule fois, pour que le bâillon lui soit bel et bien remis, ses mains et ses pieds définitivement liés, et Dieu seul sait combien de temps va durer cette punition :

Elles ont l'air pathétique, n'est-ce pas ? Mais ce n'est encore rien, si vous imaginez ce que la maîtresse est capable d'imposer à sa maid, par exemple de passer une nuit toute entière ainsi attaché et bâillonné :

Voire encore plus corsé, si jamais le contexte l'exige :

Je vous avais prévenu, de toute façon, que la suite serait bien pire que le début ! D'ailleurs, ce ne sont plus de véritables photos, mais de très belles images 3D que je vous propose, faites en grande partie au Japon... Je ne dis pas ça seulement à cause de celui qui est encore un homme (pour combien de temps ?), mais aussi à l'habit typique des deux jeunes filles, très représentatif de ce pays :

Il n'empêche, cela va très vite être résolu, si vous me croyez... Non seulement grâce à ce que prêche Dieu qui a tous les droits, ce qu'on devine très vite dans les costumes que portent les deux maîtresses, mais aussi dans le désormais tout petit vêtement imposé à Jérôme, constitué d'une chaîne mystérieuse, d'un minuscule corset, de très hautes bottes, d'un bâillon et de cordes bien tendues :

Résultat souhaité ? Tout simplement celui-ci : vendre un "submissen" esclave, au plus grand enthousiasme des deux maîtresses à gauche... Il faut dire que celui-ci a maintenant tous les aspects d'une jeune fille, non seulement grâce à sa chose désormais inutilisable, mais aussi en vertu de l'autre en bouche dont on se servira quand on le voudra - surtout que cela ne lui procurera pas le moindre plaisir -, et enfin à cause de ses bottes très hauts talons, d'une couleur qui le met définitivement à son humble place :

Première preuve avec ce petite défilé qu'entreprend la maîtresse en rouge, apparemment soutenue par celle vêtue de noir, qui était à côté d'elle durant la vente précédente... La soubrette est maintenant habillée plus classiquement, de ses chaussures à son corset, mais elle a tout de même les deux bras bien maintenus, on ne sait jamais :

Néanmoins, cela change beaucoup  dans le plan suivant, fait dans une rue où il n'y a personne ! Raison de plus pour remettre la soubrette dans ses bas blancs, les mains liées derrière le dos, l'écriture ironique qu'elle a sur la poitrine, et encore... Le plus important n'est pas tout à fait là, mais plutôt dans le soi-disant mâle que la maid tire à son tour, montrant ainsi que la maîtresse fait ce qu'elle veut, avec qui elle veut, et ceci dans les conditions qu'elle le souhaite :

Vous croyez que Jérôme est allé un peu loin, dans toutes ces pensées liées à ce fameux thème ? Soyez rassurés, moi aussi... Et fort heureusement, je ne m'appelle pas Jérôme, mais Vincent, ce qui a donné un sens très particulier à ma vie !

D'ailleurs, c'était assez différent de ce que je souhaitais pour mon anniversaire du 25 janvier 2020, si vous vous rappelez bien... Certes, je pouvais sembler très masochiste, respectueux des femmes, ou même un petit peu soubrette, mais vu qu'absolument personne (sur les 400) n'a daigné laisser de  commentaire, je suppose que tout cela est assez normal, finalement ! Je me doute que vous n'en laisserez pas non plus ici - ce qui est très regrettable, vu le temps que j'y ai passé -, mais que voulez vous ? Ainsi suis-je né, et de la sorte vais-je mourir, sans le moindre avis sur la question... Tant pis, que voulez vous, on ne se refait plus, une fois passé les 62 ans ! Vous savez ce que je pense de vous ? Et bien, si jamais cela vous tente, lisez-le sur l'article suivant...