AU JAPON EN JUIN (#5)

Attention, c'est le dernier article - toujours aussi peu commenté - au sujet du mois de juin au japon, tourné cette fois-ci d'une façon bien différente de la nourriture de l'esclave, qui fut l'objet des deux textes précédents...  Ici, il est surtout question de la domination par les bottes, et cela ne se passe pas avec une Maîtresse, mais avec quatre !

Visiblement, elles ont l'air très joyeuses, n'est-ce pas ?

C'est sûr que leur façon de faire est assez particulière... Et peut aller d'une pratique simple de se baser sur le corps de l'esclave, à quelque chose de bien plus violent, qui ne lui plaira certainement pas :

Quoiqu'il en soit, le but de ces Maîtresses reste toujours le même : se faire lécher les bottes, et cela a l'air de bien les faire sourire... Même quand seule l'une d'entre elles se trouve à l'œuvre, elle a un aspect tellement heureux, que nul ne peut prédire quand cela s'arrêtera :

Est-ce qu'au moins cela vous a plu ? En tous cas, n'hésitez pas à revoir les précédents articles, AU JAPON EN JUIN (#4), AU JAPON EN JUIN (#3), AU JAPON EN JUIN (#2) ou AU JAPON EN JUIN (#1), je pense que vous aimerez beaucoup !

AU JAPON EN JUIN (#4)

Attention, cela démarre bien plus durement que l'article précédent - bien que ceci soit en gros basé sur le même thème, celui de la dégustation... Au début, la Maîtresse peut avoir l'air difficile, mais il ne faut pas oublier que l'esclave a l'air bien plus âgé qu'elle, et rien que ceci lui donne après tout le droit de faire ce qu'elle entend :

D'ailleurs, la Maîtresse ne le laisse qu'un court instant en positon assise, et le fait bientôt basculer complètement à terre - avec pour seule tâche le léchage de ses bottes, évidemment :

Peu de temps après, elle décide du reste de lui enlever sa veste, ce dernier accessoire paraissant lui donner encore un minimum de droits... Mais c'est désormais fini, et notre Maîtresse s'en donne de plus en plus à cœur joie avec ses bottes, qui paraissent davantage effrayantes vues sous cet angle :

Faut-il vous dévoiler la fin de tout ce processus ? Certes, l'esclave est provisoirement autorisé à s'asseoir, mais bien sûr, vous devinez pourquoi... En tous cas, il ne reste pas longtemps dans cette position privilégiée, et qu'il aime ça ou non, il lui faudra manger tout ce que la Maîtresse daigne lui offrir - par pure générosité, bien entendu :

Est-ce qu'au moins cela vous a plu ? En tous cas, n'hésitez pas à revoir les précédents articles, AU JAPON EN JUIN (#3), AU JAPON EN JUIN (#2), AU JAPON EN JUIN (#1), ou le suivant AU JAPON EN JUIN (#5), je pense que vous aimerez beaucoup !

AU JAPON EN JUIN (#3)

Bon, ceci tourne d'une façon agréable pour tout le monde, n'est-ce pas ? Non seulement pour l'homme qui s'apprête à avaler ce sublime repas japonais, mais aussi pour la femme qui se prépare à le voir manger... Quoiqu'elle a un geste de l'index et aussi une botte sur la table, qui semblent vouloir dire autre chose :

Je ne me trompais guère... Il s'agit bien pour lui de manger, mais pas du tout ce qu'il pensait - et il en ira ainsi jusqu'à la fin pour cet esclave, si vous voulez tout savoir :

Certes, il se trouvait installé d'une façon assez agréable, afin de pratiquer cet acte... Mais ceci va bientôt changer, dès lors que sa Maîtresse le contraindra à une position bien plus masochiste :

Elle en profite du reste pour changer de veste... Ce qui laisse une brève sensation de confort absolu à cet esclave :

Mais cela ne va pas durer, évidemment... Bien au contraire, la Maîtresse va s'installer dans une position idéale, laissant son esclave faire uniquement ce qu'il faut, et ceci de la meilleure façon possible :

Est-ce qu'au moins cela vous plaît ? En tous cas, n'hésitez pas à lire les articles suivants, AU JAPON EN JUIN (#5), AU JAPON EN JUIN (#4), ou à revoir les précédents articles, AU JAPON EN JUIN (#2) et AU JAPON EN JUIN (#1), je pense que vous aimerez beaucoup !

AU JAPON EN JUIN (#2)

Je vous apporte cette fois mon second article, qui tourne sur un thème relativement différent du premier (BONNE PENTECÔTE) - ne serait-ce que parce que la jeune fille décide d'emblée de bien vous contraindre à être absolument obéissant :

Certes, elle ne porte pas les chaussures qu'il convient, pas plus que les chaussettes... Mais elle fait bien ce qu'elle souhaite, et vous êtes obligé de vous coucher à terre pour la servir :

Sinon, il ne lui reste plus que la corde, tant pis pour vous :

Je passe maintenant à quelque chose de bien plus hard, face à l'esclave que vous êtes, livré par deux Maîtresses... En plus, celles-ci ont quelque chose de sérieux dans les mains, de même que via leurs bottes :

Que dire alors, quand à la place de deux s'en présentent quatre ?

Je conviens qu'après tout, ce n'est pas bien facile pour vous... Mais l'essentiel, c'est qu'elles ont l'air de bien s'amuser, et on ne leur souhaite rien d'autre :

Vous en pensez quoi, cette fois-ci ? En tous cas, si jamais vous aimez cela, vous pouvez toujours vous rendre sur l'article précédent, AU JAPON EN JUIN (#1), ou bien au contraire sur les suivants, AU JAPON EN JUIN (#3), AU JAPON EN JUIN (#4) et AU JAPON EN JUIN (#5) !

AU JAPON EN JUIN (#1)

Que puis-je bien faire d'imprévu, après mon article japonais intitulé Bonne Pentecôte ? Tout simplement repartir dans ce pays magnifique vers MON SITE FAVORI, afin d'y découvrir de nouvelles choses, surtout si vous aimez...

J'admets volontiers que ceci ne plaira pas à tout le monde, mais si vous êtes comme cet esclave, vous serez déjà bien content de lécher ces bottes - juste histoire de sortir peut-être de la prison où vous êtes enfermé pour l'instant :

Surtout lorsque la Maîtresse vous faisant subir cet acte se révèle superbe, et en outre est bien déterminée à vous reléguer dans la seule place que vous méritez :

En fait, l'unique chose qui l'intéresse est bien simple : vous contraindre de redonner à ces bottes leur propreté légendaire, avec un grand respect... Et ceci quel qu'en soit le moyen :

Si cela ne marche pas très bien, peut-être sera-t-il alors nécessaire pour elle de vous attacher les mains, ou encore de vous écraser une autre partie du corps plus sensible ?

Enfin bon, je préfère en finir là avec cette sublime Maîtresse, me limitant volontairement à huit photos... Je vous livre donc les deux dernières, dont je vous avais déjà gratifié dans l'article AU JAPON EN SEPTEMBRE (#3)... Certes, ce sont juste des bottines, mais croyez-moi sur parole, elles sont bien plus sales que les précédentes bottes :

Qu'en pensez-vous ? En tous cas, si jamais vous aimez cela, vous pouvez vous rendre sur les articles suivants (dont tout d'abord AU JAPON EN JUIN (#2) puis AU JAPON EN JUIN (#3), AU JAPON EN JUIN (#4) ou AU JAPON EN JUIN (#5)), et bien sûr sur le très peu commenté BONNE PENTECÔTE !

BONNE PENTECÔTE

ET LAISSEZ UN COMMENTAIRE, POUR UNE FOIS...

Exceptionnellement, vous pouvez aujourd'hui saluer l'apparition du Saint-Esprit, qui vous aide à soutenir le difficile voyage au Japon que vous avez entrepris, et au cours duquel vous ne vous attendiez certainement pas à rencontrer cette jeune fille, dont le caractère est bien tranché, pour ne pas dire plus !

Bien sûr, cela n'apparaît pas au tout début, où vous êtes simplement contraint de faire une chose évidente - du moins aux yeux de cette Maîtresse :

Mais ceci vous semble déjà beaucoup plus délicat, lorsqu'elle vous ordonne de lui lécher ses talons - et ceci dans une position bien plus humiliante :

Ses chaussures ne sont d'ailleurs pas très propres, et vous n'avez qu'à vous sentir au mieux d'avoir à les nettoyer au maximum - c'est déjà beaucoup à votre égard :

Sinon, il ne lui restera plus qu'une unique solution, et j'ai de grands doutes que vous en soyez satisfait :

Surtout quand les places seront définitivement occupées, votre Maîtresse à sa belle table en verre, et la vôtre tout bêtement au sol - dont vous n'avez bien sûr pas le droit de bouger :

Sauf pour aller encore plus loin, mais ceci ne vous enchante guère :

Savez-vous où j'ai trouvé tout cela ? Bien sûr que oui, puisque j'ai parlé plus d'une fois de cette autre Maîtresse - en n'omettant pas ses belles bottes, et surtout la façon dont vous êtes enchaîné :

Quand elle se décidera enfin, par pure bonté, à vous enlever les menottes, c'est dans un but bien précis - et n'oubliez pas que vous avez toujours la corde au cou, juste au cas où :

Elle s'appelle Mme Kaela, et son site se trouve à CET ENDROIT EXACTEMENT, où il vous sera très facile de traduire le japonais en français, si vous le souhaitez... Vous l'avez sans doute déjà vu au sein d'un de mes précédents articles à ce sujet, Au Japon en septembre.

En tous cas, merci au Saint-Esprit de nous avoir fait une apparition de ce genre, car nous ne nous y attendions pas du tout, et ceci nous fait extrêmement plaisir !

AU JAPON EN DECEMBRE (#8)

Nous sommes maintenant le 24 décembre, à un jour de Noël, et je vais en finir définitivement avec cette petite randonnée au Japon... Seriez-vous d'accord avec la façon dont cette jeune fille traite cet homme, visiblement plus âgé qu'elle ?

Il a beau garder son costume un petit laps de temps, il en va désormais tout autrement dès qu'elle lui a retiré sa veste, le contraignant à lécher ses bottes sans discuter :

Mais cela lui suffit-elle ? J'en doute fortement, et lui aussi, si l'on en croit son visage - qui a l'air assez désespéré :

Pourtant, cela démarre pour lui assez bien, puisqu'il n'a pas de laisse, peut encore se servir de ses mains, et se contente de manger ce que sa maîtresse lui offre généreusement :

Mais cela va assez vite se dégrader, le mettant dans une position où il ne pourra tout simplement plus rien décider, que ce soit ce qu'il mange ou la façon dont il en est pourvu :

Vous pensez qu'on a atteint en cela un sommet, non ? Détrompez-vous, je suis même tombé lors de ma visite au site de madame Kaela sur une dominatrice encore plus exigeante, qui place d'emblée son esclave au dernier rang après ses propres bottes - qu'il le veuille ou non :

Cela a l'air assez dur, n'est-ce pas ? Couché dans son lit, il n'a qu'une seule chose à faire, manger immédiatement ce que sa maîtresse lui impose - et ceci sans aucune possibilité de discuter ou de se plaindre, c'est clair :

Sinon, la dominatrice se montrera encore plus déterminée, et cela risque de ne pas passer très bien :

Voila, c'est terminé - et pour de bon, cette fois-ci, étant donné que je n'ai quasiment aucun commentaire... Je ne saurai donc jamais si vous appréciez beaucoup cela, ou si au contraire vous le considérez comme désespéré, sordide et insultant, vis-à-vis du pauvre homme qui vient se placer de lui-même dans cet endroit impossible.

En tous cas, n'hésitez pas à consulter les articles précédents (au mois de septembre), ou les suivants, au mois de décembre : Au Japon en septembre (#1), Au Japon en septembre (#2), Au Japon en septembre (#3), Au Japon en septembre (#4), Au Japon en décembre (#5), Au Japon en décembre (#6), Au Japon en décembre (#7)