L'INDEX DES ESCARPINS :
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  • vendredi, janvier 10, 2025

    VRAIMENT EN GRAND PUBLIC !

    Alors, cela vous plaît toujours autant ? Tant mieux, parce qu'il a fallu que je fasse le tri parmi de nombreuses images, que j'ai décidé de positionner de cette façon, la première étant quasiment sans public, laissant tranquillement l'esclave exercer sa pure dévotion :

    Il en va de même pour les maîtresses suivantes, toujours sans public, mais bien décidées à se livrer à des actes nettement plus douloureux, que ceux-ci aient lieu sur la route ou dans la rivière :

    Enfin vient le moment où une gentille femme va offrir la vue de son esclave à tout le monde, même si ceux-ci ne sont pas encore très nombreux... Mais ils vont vite se trouver au rendez-vous avec cette autre maîtresse, qui sait bien le tenir en laisse pout qu'il se consacre avec un grand respect à ses escarpins :
    Qu'en est-il alors de ce dernier ? Certes, il n'a pas grand chose à faire, pour l'instant... Mais il a dû s'habiller en Sissy, condition absolument obligatoire pout sortir avec elle :
    Ou alors, l'on pourra garder ses vêtements traditionnels, mais à une unique condition : être bien soumis à plusieurs maîtresses, qui au passage ont l'air de bien s'amuser...
    Et ceci peut avoir ses inconvénients, notamment le fait que plutôt que leurs propres chaussures, ce sont leurs pieds qu'elle font lécher à l'esclave - qui n'a pas l'air absolument ravi :
    Résultat ? Il va de nouveau s'en remettre aux bottes... Le tout en pleine nuit, dû à la fameuse princesse dont j'avais déjà parlé il y a quatre ans, sur un article qui porte son nom, ANGEL :
    Evidemment, cela se dégrade assez vite... Surtout pour l'esclave, qui doit lécher les bottes de sa maîtresse face à beaucoup de gens, ou encore pour ces deux autres, obligés de se tenir à quatre pattes dans un café, avec la même contrainte :
    Leur masque est-il un signe d'esclavage définitif ? Je crois bien que oui... On en a la meilleure preuve ici, aux USA, ou encore - comme le laisse supposer l'orthographe différente du mot - en Allemagne :
    C'est encore plus clair avec cette photo, qui ne nous montre pas l'esclave léchant les superbes bottines de sa maîtresse, mais comme si celle-ci était par avance dégoûtée, juste en train de bien les essuyer à l'aide d'un torchon qui est fixé dans sa bouche :
    A moins qu'il ne préfère ceci : se montrer relativement calme, sans masque ni chaîne... Mais devant vénérer ces nombreuses maîtresses, appuyant les bottes sur lui - le tout avec un grand sourire :
    Que se passe-t-il à la fin ? Toujours la même chose, ce qui a l'air de faire très plaisir à ces dames... Avec cette petite inscription sur son torse, que je vous laisse le soin de traduire : "He's our bitch !" :
    Je crois que c'est la seconde fois que je traite de ce sujet - qui semble plus important aux Etats-Unis qu'en Europe... Mais on ne sait jamais, n'est-ce pas ? Peut-être qu'un commentaire de votre part sera le bienvenu, à tel point que j'écrirai un nouvel article autour de ce thème, assez rarement évoqué ici !

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