LE MOIS D'AOÛT (#2)

Que faire le 15 août, en vertu de si peu de commentaires laissés, surtout en raison de la bonne centaine de gens qui passent chaque jour ? Grand mystère, pour moi... En tous cas, je vais rester sur les Buffalo, au moins pour les trois premières photos :

La suivante vient bien sûr du Japon, où les fameuses 24400-T sont toujours à la mode - même si évidemment, le masque n'apporte pas grand choses à l'aspect général :

Néanmoins, je suis certain que vous préférerez cette jeune fille bien plus agréable à voir - et peut-être même anglaise, d'ailleurs :

Une chose est sûre : si l'on est très belle, il importe peu que les bottes soient de vraies Buffalo... Avec n'importe quelle paire, l'effet sur le public est toujours réussi : 

N'est-ce pas ?

Après, il y a bien sûr le moment où un certain nombre de choses se dégradent... Pour commencer, vous n'avez plus le besoin - ou le droit ? - de voir la femme en question, mais surtout l'obligation de suivre simplement son doigt, et de se soumettre à sa volonté en la matière :

Oui, je sais, ce n'est pas très agréable, mais que voulez-vous ? Il en va ainsi dans la plupart des cas, où vous devrez vous contenter de votre langue, pour offrir le plus servilement possible à Madame ce qu'elle souhaite :

Ce n'est pas si mal, vous ne trouvez pas ? Sinon, les bottes peuvent se révéler dans un bien pire état, et que voulez-vous, il n'y a pas d'autre solution que de rester où vous êtes, afin d'accomplir ce dont vous êtes encore capable :

J'ai tenté de montrer tout cela aux lecteurs, mais vu l'absence de commentaires, je suppose qu'ils ne l'ont pas bien lu, non ? Je vais donc refaire un petit test de toutes les possibilités, en commençant par la plus simple d'entre elles, qui se trouvait sur  cet article-ci :

Certes, c'était un petit peu trop facile... Mais je me suis bien vite rattrapé avec l'article suivant :

Et encore plus avec celui-là, qui nous montrait tout ce qu'un homme a juste le droit de faire face aux bottes de sa maîtresse, sans même oser se plaindre ou critiquer :

Sinon, cela finit forcément comme ceci, ce qui n'est pas très drôle, cela va de soi... Sauf pour celle qui tient la laisse en main, et s'offre en plus un joli sourire :

Il ne reste alors que deux possibilités, d'une part celle de se soumettre à 200 % à la femme pourvue de ses très sales bottes, comme je l'avais déjà démontré ici :

De l'autre, se livrer sagement à la domination de plusieurs maîtresses, sans qu'il y ait la moindre possibilité d'apporter la moindre critique :

Il existe encore une autre solution, me direz-vous... Mais heureusement, celle-ci n'a plus grand choses à voir avec les hommes - et cela se passe d'ailleurs nettement mieux :

Alors, est-ce que vous avez mieux lu, cette fois-ci, tous les textes en question ? Ce serait assez étonnant qu'il n'y en ait aucun qui vous convienne, je crois... En tous cas, je vous en prie, soyez assez vaillant pour laisser un petit commentaire, car cela me gêne beaucoup, de n'en voir quasiment aucun (y compris sur le précédent post, Le mois d'août (#1)), en dépit de la bonne centaine de personnes qui viennent ici chaque jour !