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  • lundi, février 22, 2010

    SNEAKERS COLLECTION (#4) !

    Et voilà, enfin, je finis !
    Autrement dit, la description de toute ma très vaste collection de SNEAKERS AND BUFFALOS, en espérant que tout le monde l'aimera beaucoup !
    Comme chacun le sait, l'un de mes rares problèmes est de posséder plus d'une vaste centaine de paires, dans un maigre appartement de 63 m2... Alors voilà ; après avoir visité récemment certains meubles des deux pièces principales, il faut désormais se rendre au pied de la cuisine :
    À commencer évidemment par ces quatre paires que j'adore, notamment les très belles No Name de gauche, à côté des fameuses Reebok Dubble :
    Une autre paire de No Name (que je mets plutôt très rarement), ainsi que deux sabots de chez Skechers, bien agréables à porter dès que l'été parisien dépasse les 25 degrés :
    Et bien plus rare, une paire de No Name encore plus barrée, une très célèbre paire de Reebok Pump Up, plus trois paires bien déjantées de chez B-Two, que j'ai vraiment adorées autrefois :
    Particulièrement celle du milieu, en rouge bordeaux, faite exactement comme la paire No Name bleue au fond de l'image, autrement dit, en soi-disant imitation du python :
    Histoire de changer un peu (mais toujours dans la cuisine), deux paires très particulières de chez Fornarina, limite entre baskets et bottines, va-t-on dire :
    Tout juste si ce n'est pas pour faire de la boxe, sport que - bien sûr - je déteste et n'admets même pas mentalement (exception faite de Million Dollar Baby, évidemment) :
    Et voilà, la cuisine est finie ! Mais bon... Il reste encore à passer à la salle de bain, où se trouvent pour conclure une dizaine de paires (bon, je vous rassure, ce sont les ultimes) :
    En résumé : une paire de Kappa que j'adore, ma seule et unique paire de Nike (géniale, mais hélas fabriquée en Chine, probablement fausse, et en prime d'une pointure de 41 qui doit être du 38, en gros !), plus deux paires de Fornarina, très jolie marque italienne, tout comme Kappa :
    Très jolies, n'est-ce pas ?
    Bien que curieusement (sans doute à cause de la réflexion lumineuse de ces quatre paires), le flash de mon NIKON s'est montré plutôt réticent dans la salle de bain, alors voilà, en guise de bis dans le salon :
    Et histoire de terminer, six paires de X-Dream que j'aimais beaucoup porter à une certaine époque, non seulement pour leur style, mais aussi pour leur prix complètement dérisoire :
    Ah mais non, ce n'est pas fini, il en reste encore ! Déjà, les toutes dernières très belles Reebok Freestyle et Converse de mon anniversaire du mois dernier :
    Mais en prime, six fausses paires que je ne porte plus jamais, cachées sous le piano, et qui sont toutes de mauvaises imitations en plastique de marques autrefois très connues (je vous laisse deviner) :
    Bata, X-Sport et B-Two, de très vilaines copies que je me suis achetées à une époque où elles valaient en gros 30€ dans les magasins des Halles, comparativement aux 120€ (sinon 140€) des Buffalo :
    Mais rien à dire... Du coup, leur confort s'avérait très exactement quatre fois inférieur !
    Raison pour laquelle je ne les mets plus depuis au moins dix ans (m'étant depuis habitué au sublime vrai cuir des vraies marques)...
    Mais peu importe, là, vu la bonne centaine qui me reste à côté, n'est-ce pas ?
    Plus, pour une fois, de très belles chaussures féminines, que j'espère vous aimerez beaucoup !

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    dimanche, octobre 08, 2006

    ABOUT KAPPA

    Le simple fait d'avoir ressorti ma déjà ancienne paire de Kappa, cinq ou six ans au bas mot, m'a fait soudain m'interroger sur l'origine de ce logo peu banal, que j'ai toujours trouvé extrêmement séduisant :
    D'autant plus que sur cette unique paire que je possède (copiée d'ailleurs de façon éhontée sur les Reeboks Classics Dubble, il faut tout de même le préciser), le logo Omini est partout, sur le côté, bien sûr :
    Mais aussi devant (déjà plus rare) :
    Et de façon encore plus rare, dessous :
    En tapant Kappa Logo sous Google, j'ai tout de même trouvé assez vite l'explication, plutôt curieuse, finalement.
    C'est la firme textile italienne MCT - l'ancêtre de Kappa - qui en 1969, à l'occasion de sessions photos pour un catalogue de maillots de bain, réalisa ce cliché d'un couple nu se tournant le dos, détouré d'un trait de crayon noir. La photo ne fut finalement pas utilisée pour le catalogue, mais devint définitivement le logo de Roba di Kappa (le vrai nom de la marque en Italie)...

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    samedi, octobre 15, 2005

    LES OUBLIÉES...

    Toujours dans la série Vintage, je me suis souvenu d'un certain nombre de marques ultra-connues dans ma décennie de référence 1990-2000, et qui ont pour ainsi dire disparues de la circulation, sans que l'on sache vraiment ni pourquoi ni comment...
    À commencer par Fila, marque italienne au slogan typique du pays (L'Arte nello Sport), très populaire en partie grâce à ce modèle :
    Mais aussi et surtout, à l'époque de la mode des baskets légèrement compensées, par ses copies nombreuses et éhontées de la chaussure la plus célèbre et la plus portée du moment, ma préférée, la fameuse Reebok Classic Dubble (que je dois être l'un des rares à en porter encore aujourd'hui, vu que j'en ai environ seize paires, il faut bien que je les amortisse...) :
    Après tout, peut-être qu'il y a une justice quelque part, vu qu'aucune des marques ne s'étant lancée dans cette entreprise de plagiat, peut-être un peu trop voyante, n'a réussi à tirer son épingle du lot, comme par exemple Kappa, dont on n'entend absolument plus parler (exemple parfait d'une copie flagrante, même si la couleur est originale) :
    Autre cas d'école, LA Gear, firme toujours en activité, mais avec des modèles plutôt minables, comme c'est actuellement la tendance, très loin de l'éclat et de la célébrité qu'elle avait dans les années 90', notamment avec ce modèle bien connu, dont hélas je n'ai pas réussi à trouver d'autre illustration (vu que sa principale originalité était d'avoir des lacets bicolores, ce qui n'est pas le cas ici) :
    Ils avaient également de très belles et très érotiques pages de publicité, c'était en 1989, l'année de la sortie du génial film d'Aki Kaurismäki, Leningrad Cow-Boys go to America (ça me revient surtout parce que c'est au verso de la pub !) :
    Ceci dit pour vendre de très belles choses :
    Et même, the must of the must, cette ligne de baskets qui en soi n'avait rien d'exceptionnel :
    Mais qui à l'époque était la première tentative (hélas avortée) pour réhabiliter dans le monde adulte la mode, jusqu'alors réservée au Kids, de la basket lumineuse ultra-techno, avec un flash à chaque fois que le pied touchait le sol :
    Le super top, isn't it ? (Vivement que Nike, Reebok, etc... bref, les ténors du marché, se repenchent sur le sujet, pour notre grand plaisir à tous) !

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