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  • mercredi, novembre 20, 2024

    COMMENT BIEN VOIR CE SITE ?

    POURQUOI NE LAISSEZ-VOUS PAS DE COMMENTAIRE ? QUELLE QUE SOIT LA DATE DE L'ARTICLE, SOYEZ COOL, CAR JE NE SUIS PAS ENCORE MORT !

    1) Soit vous êtes pressé, et vous vous rendez sur l'un des articles mentionnés à droite, sous le titre "Mes Articles récents"...

    2) Soit vous avez plus de temps, et vous cherchez alors entre autres sur BOTTES, sachant que vous pourrez très facilement revenir à la première page, juste au-dessus... Si en outre vous laissez un commentaire, ce sera très bien !

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    THE VERY NICE MISTRESS MORRIGAN !

    N'est-ce pas qu'elle est fort belle ? En tous cas, madame Morrigan se décide à boire un verre de très bon vin, pendant que son esclave - comme d'habitude - se dévoue à ses magnifiques escarpins :

    Lesquels sont bien moins sales que couramment... Mais ceci n'empêche pas la maîtresse de se montrer très exigeante, le contraignant à lécher la moindre partie de ses chaussures, y compris le haut talon :
    Sans compter qu'elle ne va pas s'arrêter là... En ordonnant désormais à son esclave de s'attarder sur la partie visible de ses pieds, ce qui au fond n'a pas l'air de lui déplaire :
    Ainsi en venons-nous à la dernière partie, plus délicate... Celle consistant à enlever très délicatement les escarpins de maîtresse Morrigan, pour se consacrer maintenant à ce qui lui semble vraiment important, ses propres pieds :
    Superbe et fort enviable, n'est-ce pas ? Je comprends bien, tout comme vous, que j'aimerais assez me retrouver à la place de cet esclave, tellement celui-ci a l'air de bien se résoudre à cette punition - qui n'en est pas une, finalement...
    En tous cas, quel que soit ce que vous en pensez, j'aimerais beaucoup que vous laissiez - contrairement à vos habitudes - un commentaire... Cela me fera fondamentalement un grand plaisir !

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    dimanche, novembre 10, 2024

    SONIA AND HER GIRLFRIEND ARE COOL...

    J'en ai un peu marre, en fait... De passer environ huit heures à réaliser un article sur un thème bien précis, pour n'avoir en guise d'échange qu'un ou deux commentaires - sur la centaine de personnes qui visitent ce site chaque jour !

    Conclusion ? Je vais désormais me borner aux seules photos, celles de la première maîtresse qui se nomme Sonia :

    Accompagnée de son amie, qui porte des bottines légèrement différentes - que personnellement j'aime un peu moins :
    En réalité, elles sont là toutes les deux - comme on le devine sur la photo précédente -, et vont s'amuser avec cet esclave jusqu'à la fin :
    Y compris, pour l'une d'entre elles, le fait de se reposer simplement les pieds sur le dos de ce pauvre homme - qui se trouve néanmoins bien mieux ainsi que pas mal d'autres que j'ai cité auparavant :
    Alors dites-moi : cette article bien moins bavard qu'habituellement vous va-t-il mieux ?
    Si c'est le cas, tant pis... Je m'efforcerai de continuer ainsi, si cela vous fait le même effet que ma longue prose ennuyeuse, et j'éviterai désormais de vous demander de laisser un commentaire - vu que cela ne sert pas à grand chose !

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    mardi, novembre 05, 2024

    VERY HIGH HEELS... LAST TEXT ?

    Je sais que c'est un sujet bien connu des amateurs, mais je crois que je ne suis pas allé assez loin, la dernière fois... Certes, il est toujours agréable de découvrir les fascinants escarpins de ces maîtresses, surtout quand la toute première d'entre elles a l'air aussi gentille :
    Mais bien sûr, ça ne va pas durer très longtemps... Et ce qui entraîne le plus ces jeunes filles va bientôt se rabattre sur l'esclave, contraint de nettoyer au mieux ces chaussures, qui s'avèrent bien sales, finalement :
    S'il n'est pas d'un grand enthousiasme, tant pis pour lui... C'est s'exposer au mieux aux escarpins de ces maîtresses, qui vont être de plus en plus exigeantes au fur et à mesure que leur nombre s'accroît :
    Et même si ceci n'est pas le cas, l'esclave devra se trouver fort heureux de ne servir qu'une seule maîtresse... Dont il devra en échange nettoyer toutes les chaussures qu'elle possède, et cela n'est pas rien - même si il a la grande chance qu'elles ne soient pas trop sales :
    Hélas, il n'y a pas grand chose à faire pour le contraindre à cette obéissance... C'est pourquoi l'on va passer à un autre stade, bien plus dégradant pour lui, mais obligatoire pour sa maîtresse :
    Désormais, il va se montrer beaucoup plus sage... Et cela paraît évident aux yeux de ces maîtresses, se livrant maintenant à ce qu'elles ont envie de faire, peu importe son attitude - vu qu'il n'a que très peu de possibilités d'aller contre :
    Au cas où, il reste encore à la femme dominatrice le loisir de placer son esclave dans un pilori... Ce qui lui laissera peu de chances de s'opposer à sa volonté, même si celle-ci peut paraître extravagante :
    Que dire alors de ce qui a l'air d'une immobilisation excessive ? Sans doute, la première photo est bien le signe d'une parfaire obéissance à sa maîtresse, mais c'est incontestablement sur la seconde que l'on découvre la soumission absolue qui lui est imposée :
    Résultat ? Certes, l'on peut redonner à son esclave ses mains libres, mais c'est en échange de ce qui lui paraissait important à ses yeux : le fait de malgré tout rester un homme... Car ce n'est plus désormais qu'une fausse femme, une Sissy, comme on dit :
    Si cela ne lui plaît pas non plus, il ne reste à la maîtresse qu'une unique solution : l'attacher ainsi déguisé, que cela soit sur une simple chaise ou une table plus gênante, en restreignant tout accès à ses organes... Et bien sûr, cela peut durer très longtemps :

    Allez-vous me dire encore une fois que je vais là trop loin ? J'en doute... Mais si ça n'est pas le cas, soyez assez gentils pour me laisser un commentaire, ce qui me fera très plaisir !

    Si vous aimez bien, il vous reste encore cinq articles à (re)voir :

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    vendredi, novembre 01, 2024

    I FEAR THE CHASTITY CAGE...

    Bien sûr que j'en ai peur - comme tout le monde, je crois... Alors au début, cela peut plutôt bien se passer, d'autant que l'esclave n'a qu'à admirer en silence les bottes de sa maîtresse :

    Mais cela peut assez vite se dégrader, surtout quand l'esclave constate que toute sa douleur ne peut être agréable que pour elle - étant donné la façon dont elle repose ses jambes sur un système d'équilibrage plutôt bien conçu :
    Bien sûr, il souffre beaucoup ainsi... Peut-on pour autant comparer cela à ce pilori, où tout ce qu'il y a à faire consiste à lécher les bottes de sa maîtresse ? J'en doute fort, surtout lorsque celles-ci sont aussi sales que sur la seconde photo :
    La plupart du temps, il a même les mains totalement absentes de l'endroit en question - ne lui laissant en usage que la seule chose vraiment utile, sa langue :
    Mais il y a bien d'autres possibilités, notamment celle-ci... Et ceci réjouit bien cette maîtresse, dirait-on :
    Evidemment, tant qu'il n'était pas contraint, cela pouvait encore passer... Mais cela ne va guère durer, et rendre notre esclave bien plus soumis qu'il en a l'habitude, surtout dans le second cas :
    Comment interprétez-vous la photo suivante ? Toujours est-il que l'esclave n'a désormais plus aucune possibilité de se satisfaire de ses propres mains, et semble même avoir en bouche ce que souhaite la maîtresse en question :
    Mais avant tout cela, elle va déjà le soumettre au strict minimum - sachant bien sûr qu'il ne bénéficiera d'aucune jouissance de son côté :
    Ce qui semble parfaitement adapté au désir des deux nouvelles maîtresses - qui souhaitent utiliser au mieux leur esclave, sans que celui-ci ait la moindre possibilité de faire autre chose :
    Que dire alors, lorsque trois autres se pointent sur lui, exigeant naturellement de l'esclave qu'il soit obéissant et très appliqué ?
    En tous cas, cela doit être relativement dur, de donner à une maîtresse tout le plaisir qu'elle souhaite, sans en récupérer le moindre... C'est la raison pour laquelle j'intitule cet article I fear the Chastity Cage, dans lequel je préfère vraiment les cinq premières photos, qui m'apparaissent nettement plus agréables à voir - ou pourquoi pas, à vivre - que les suivantes...

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