LES 364 JOURS RESTANTS...

Bon, après être resté quasiment sans commentaire sur La journée internationale des femmes, il ne me reste plus qu'à parler d'une seule chose : que faire des 364 jours restants, lorsque l'on a la (mal)chance d'être un homme  ?

La réponse, pour moi, est évidente... Passer son temps à regarder des chaussures que l'on ne peut malheureusement pas porter, c'est ce qui me semble le mieux :

N'est-ce pas, Madame ?

Evidemment, il y a assez peu de chances que les choses demeurent ainsi, surtout si la femme, en plus de ses bottes rouges, a des gestes absolument sans équivoque :

Mais au fond, peu importe... Finalement, l'essentiel reste que l'on montre beaucoup de respect dans ce qu'on fait, n'est-ce pas ?

Si en plus cela rend la femme très heureuse, on n'a rien à dire, je crois...

Mais cela n'est pas toujours le cas, hélas :

Au point que vous devrez vous forcer, dans un premier temps, à respecter ces bottes d'autant plus facilement sales qu'elles sont blanches :

De toutes façons, vous êtes là 364 jours par an, alors à quoi bon ne pas en profiter un tout petit peu - surtout que vous n'avez pas l'air très mécontent, finalement :

Au cas où, ces femmes seraient un tout petit peu plus dures, mais après tout, rien de plus normal, n'est-ce pas ?

Bon, j'admets que parfois, cela peut sembler un peu délicat, surtout si la chaussure a l'air très sale, et la jeune fille guère prête à la tendresse :

Mais que voulez-vous, c'est la logique de la chose... Même si les bottes demandent beaucoup de soin, vous serez tout prêt à le donner, 364 jours où n'existe pas la journée internationale des femmes :

Et si vous n'êtes pas prêt, que voulez-vous, ne reste à Madame qu'une seule solution, qu'elle mettra en place sans plus tarder, bottes sales ou à peine propres :

Vous pensez que je délire complètement, non ? Ou que j'en suis réduit, avec mon consentement, à un pur et simple masochisme ?

Peu m'importe, au fond... De toute façon, il me reste assez peu de temps à vivre, j'ai les fantasmes que je désire - comme tout le monde -, et de toutes façons, il n'y aura quasiment aucun commentaire sur cet article, alors comme l'on dit, je me défoule !