SNEAKERS COLLECTION (#3) !

Et oui, j'exagère encore plus, désolé !
Car en fait, lors de l'article précédent, je n'avais photographié que mes principales grosses et célèbres paires de Buffalo compensées, celles de 1348-14 et celles de 2003-14 (mille excuses pour la nullissime poésie à l'allemande de cette marque, ceci me scotche toujours autant) !
Mais du coup, j'en avais oublié un bon gros paquet (une quinzaine, en résumé), à commencer par ces trop célèbres et trop géniales 2410-57 à porter, ce que nous autres Français appelons "les flammes" :

Elles sont sublimes, n'est-ce pas ?

Histoire de me faire pardonner de mes omissions lors de la dernière fois, n'oubliez pas d'admirer les deux très belles 2003-14 en tout premier plan, tout de même :

Sans parler de modèles plutôt rares et très zarbis :

Notamment les fameuses Clogs, dont je ne possède fort heureusement que deux paires :

Bien sûr très agréables l'été, pieds nus - ce qui, hélas, les rend beaucoup plus vite très sales que les autres :

Encore plus rares, ces deux modèles ultra confortables, le plus à gauche (1735-58) étant quasiment mon record absolu sur Ebay (un seul Euro, authentique !) :

Ceci dit, je pense me souvenir que celui de droite a dû à peine me coûter plus cher :

Argh... Et merde, j'en oublie encore !
Notamment ces cinq paires que j'adore également, toutes étant (sauf le modèle du milieu) de fameuses 1710-20 complètement barrées, autrement dit dorées, argentées, noires vernies, en forme de Jeans, ou en forme de zèbre :

Géniales, non ?

Dans les deux sens, n'est-ce pas ?

Toujours est-il que lorsque vient l'été, et que pour ma part, je ne supporte plus la chaleur au-dessus de 25°, j'adore aussi cette fameuse paire du milieu (1725-20), tellement c'est cool à porter :

La seule chose qui m'a gavé, là, sur ce coup, c'est que le NIKON ait photographié mes chevilles comme si elles avaient 70 ans, argh - ce qui n'est pas du tout le cas, !
Meilleure preuve bien connue : c'est qu'en 2009 (comme tous les ans), je me suis quasiment offert 395 km de randonnée dans les Alpes italiennes cet été... Cool, non ?

SUMMER SNEAKERS !

Bon... Là, il faut tout de même faire un tout petit peu table rase, n'est-ce pas ? 

Parce que mine de rien, l'été arrive à grands pas, et c'est bien sûr le moment idéal pour renouveler ma gamme de baskets, avec notamment ces sublimes Sketchers Sabots (je crois même que c'est cette marque qui a créé le concept) :

Autre déclinaison, très sympa, elle aussi :

Bien évidemment, Buffalo n'est pas en reste, avec ces fameuses 1725-20 (comme toujours, on reste pantois devant la poésie de leurs noms de modèles !) :

Sans même parler de mes fameuses Nike :

Mais les pires, si je puis dire, ce sont tout de même celles-ci (les vraies Buffalo, pratiquement introuvables en France) :

Je les adore, mais bon, surtout à la maison ! Celles-ci, je n'ai pas encore trop osé les porter en public, quoi, ça fait quand même vachement fille, quelque part (et en même temps, je suis con, vu qu'à Paris, tout le monde se fout absolument à peu près de tout, en résumé)...
Voilà. De temps en temps, j'aime faire des articles complètement inutiles, comme celui-ci, et tant pis si vous n'aimez pas... 

BUFFS, BUFFS !

Quelques photos de la seconde paire tant attendue, 13 Euros sur Ebay.de, un modèle absolument rarissime de chez Buffalo, en jeans délavé et nubuck bleu, archi neuf et pourtant déjà super confortable :

Comme toujours chez Buffalo, ce modèle porte le nom immensément poétique de 1721-20, de la fameuse série des "17", parmi lesquelles les très réputées 1710-20 (qui ne sont pas toujours aussi flashy, il y a bien sûr des modèles bien plus conventionnels, mais ce sont les deux seuls - les pires, selon certains - que je possède, lol !) :

Ainsi que les non moins célèbres sabots 1725-20, bien plus agréables que tous les autres modèles similaires, qu’ils soient de chez Skechers, Nike ou Adidas, notamment grâce aux dix petites ouvertures sur les deux côtés… Une aération très bien pensée et fort bienvenue en été, où l’on a toujours coutume de porter ce genre de baskets pieds nus !

Cette fameuse série des "17" a bien entendu connu un nombre absolument infini de déclinaisons, ce par quoi on voit clairement qu'il s'agit d'une marque allemande, et non pas italienne par exemple, car en ce pays, le "17" est supposé porter malheur tout autant que notre 13 (dont l’origine néfaste – liée au dernier repas du Christ et de ses douze apôtres – est bien connue) !
J’ai très longtemps ignoré la raison de cette superstition, jusqu’à ce que je l’apprenne un peu par hasard l’été dernier en Italie : orthographié en chiffres romains, XVII s’avère en effet l’anagramme de VIXI, soit en latin : "Il a vécu", autrement dit : "Il est mort".
Se coucher chaque soir un peu moins con : n’est-ce pas le signe d’une journée pleinement réussie, en fin de compte ?